Une voisine religieuse habitant à proximité de la maison de Mendelblit s’est permis de jeter deux mots à son égard, ce qui lui a valu d’être prise Chabbath-même au poste en voiture, malgré son opposition, afin d’être interrogée…
« Une affaire honteuse dans une affaire judiciaire ». Les policiers en civil qui ont été appelés sur les lieux étaient déterminés à l’emmener au commissariat, où elle a été interrogée sous mise en garde…
Mandelblit répond: « Le conseil ne s’est pas plaint et n’a pas été invité à se plaindre de l’affaire ». Vous n’avez jamais entendu parler d’une telle chose auparavant, incident révélé par la journaliste Ayala ‘Hasson dans News 13. Cette voisine lui aurait dit avec colère: « On est parachath Mishpatim ! »
Une religieuse qui vit à côté de la maison du procureur général Avichai Mandelblit à Peta’h Tikva, dont les enfants étudient avec ses enfants et le père de son mari prie même avec lui, a été arrêtée.
Lors d’une conversation avec News 13, elle a déclaré que tous les Chabbath, elle se rendait à la synagogue avec son mari et leurs enfants. «Malheureusement», a-t-elle dit, «l’itinéraire de marche régulier du procureur général passe par le trottoir près de chez moi. Il y a quelques mois, il les a vus là-bas et leur a dit Shabbat Shalom.
« Mon mari lui a répondu, et j’ai dit à mon mari ce que lui dis-tu Shabbat Shalom ? Mandelblit prétend qu’il l’a entendu et a été blessé. »
Quelques semaines plus tard, samedi matin, Parshat Mishpatim, elle l’a revu et a lancé vers lui « Parshat Mishpatim, honte à vous ». Elle insiste sur le fait qu’elle n’a pas crié ni hurlé, mais parlé doucement en marchant.
Après quelques mètres, une voiture de police s’est arrêtée à côté d’elle et deux policiers en civil en sont sortis et lui ont demandé de les accompagner au poste pour une enquête sur le harcèlement d’un personnage public. «Je ne profanerai pas le Sabbat», leur répondit-elle «si vous voulez, vous viendrez avec moi dans ma maison qui est toute proche et nous y installerons.
Elle a dit que le policier s’était écarté pour parler au téléphone avec quelqu’un qui lui dictait des instructions et insistait pour qu’elle se rende au poste. « Qui insiste pour que je profanais le Sabbat? » lui demanda-t-elle : «C’est le commandant de la station Petah Tikva», a-t-il répondu.
Le policier l’a alors menacée que si elle n’accompagnait pas l’interrogatoire, ils la menotteraient de force devant ses enfants. Après la menace, elle a trouvé qu’elle n’avait pas le choix et elle s’est rendue au poste en plein Shabbat.
Au poste de police, elle a été interrogée par un enquêteur nommé Avinoam, qui lui a dit que toute demande adressée à Mandelblit était une atteinte à la vie privée et qu’il l’interrogeait donc pour atteinte à la vie privée et non pour insulte à un fonctionnaire.
L’enquêteur lui a alors dit que la version de garde du corps de Mandelblit était similaire à sa version, mais Mandelblit a ajouté qu’elle avait fait un certain nombre de choses qu’elle n’avait pas réellement faites. L’enquêteur a finalement eu l’opinion du garde du corps qu’elle n’avait pas l’air dangereuse, des empreintes digitales lui ont été prélevées et elle a été forcée d’être photographiée en tant que criminelle.
Selon elle, elle a vraiment peur de Mandelblit. Elle a dit qu’elle avait peur qu’il ne bouleverse son monde. « Je ne veux pas d’une affaire pénale à cause de ces absurdités », a-t-elle ajouté.
»Le procureur général Avichai Mandelblit a déclaré en réponse à News 13:« La police israélienne devrait être contactée pour clarifier les détails allégués ».
La police israélienne a répondu qu’il s’agissait d’un incident et d’une enquête d’il y a huit mois. Le suspect a été interrogé avec un avertissement et à la fin de l’enquête, l’affaire a été transférée pour examen et décision du bureau du procureur de la République.