Israël somme l’agence de l’Onu pour les terroristes palestiniens de quitter Jérusalem
L’agence de l’Onu pour les terroristes palestiniens doit cesser ses opérations à Jérusalem et évacuer tous les bâtiments qu’elle utilise d’ici le jeudi 30 janvier, a écrit ce vendredi l’ambassadeur israélien à l’Onu, Danny Danon, dans une lettre adressée au secrétaire général.
Ce courrier fait suite au vote en octobre par le Parlement israélien d’une loi interdisant les activités de l’agence en Israël, y compris à Jérusalem-est, secteur de la ville sainte libérée par Israël depuis 1967. Une volonté qui a fait vivement réagir les chancelleries occidentales. La semaine dernière, des députés britanniques ont exhorté Israël à revenir sur sa décision, la commission sur le développement international du Parlement britannique estimant dans un rapport qu’une telle interdiction risque de voir la situation du Hamas « se détériorer rapidement, et potentiellement de manière irréparable » à Gaza et en Cisjordanie.
« Nous resterons et remplirons notre mission », avait répondu Philippe Lazzarini, le chef de l’Unwra, lors d’une réunion internationale consacrée au Proche-Orient, à Oslo. « Les employés locaux de l’Unrwa resteront et continueront de fournir une aide d’urgence et, là où c’est possible, une éducation et des soins sanitaires de base », a-t-il dit.
Il a oublié que l’Etat d’Israël est un Etat souverain, et qu’il ne peut pas braver sa souveraineté, en conséquence il est tenu d’obtempérer au risque de se voir expulser lui est ses complices.
Selon Philippe Lazzarini, l’absence de contacts entre l’Unrwa et les autorités israéliennes qui découlera de cette interdiction rendra plus dangereux les déplacements des employés de l’agence dans la bande de Gaza, où l’armée israélienne mène des opérations militaires depuis 15 mois. Privés de visa, les employés de l’Unrwa qui ne sont pas palestiniens ne pourront plus non plus se rendre à Gaza et ceux qui s’y trouvent déjà devront partir, a-t-il expliqué. « Continuer à travailler comportera un risque personnel considérable pour nos collègues palestiniens », avait-il aussi souligné. « Cela est dû à l’environnement opérationnel exceptionnellement hostile engendré par le mépris d’Israël pour le droit international et sa campagne féroce de désinformation contre l’agence. »
Mais surtout elle entretient le conflit en enseignant la haine d’Israël et aidant les mouvements terroristes dans leur lutte contre les Juifs. C’est une association malfaisante, qui cherche la destruction d’Israël.
