Après avoir découvert que la formule à partir de laquelle le « Sprite Zéro » est fabriqué avait été modifiée et qu’un certain nombre d’organismes de surveillance rabbinique avaient publié des avis appelant à cesser de consommer ce genre de boissons – les dirigeants de l’organisme de cacherouth du rav Landau s’expriment.
Be’hadré ‘Harédim
La crise du « Sprite Zéro », qui a commencé la semaine dernière et a été publiée pour la première fois dans « Be’hadré ‘Harédim », a été abordée pour la première fois par le fournisseur israélien de cacherouth concerné.
Comme vous vous en souvenez peut-être, la crise a éclaté après qu’il a été découvert que la formule, à partir de laquelle l’extrait utilisé dans la production de « Sprite Zéro », avait été modifiée et que de l’« acide tartrique », qui est produit à partir de raisins, avait été ajouté à elle. En raison de la crainte que des questions se posent du fait du vin sans surveillance qui risque de s’y trouver, de nombreux organismes de cacherouth du monde entier ont annoncé que la boisson populaire ne devait pas être bue. En Israël, donc, le présent organisme s’exprime.
Le bureau du rav Landau, qui assure la surveillance de l’usine Coca-Cola à Bené Brak, a dit : « Jusqu’à présent, nous savions que Coca-Cola avait toujours besoin de surveillance, alors que le ‘Sprite’ n’en a pas besoin. La raison en est que pendant de nombreuses années, on n’était pas au courant des substances problématiques qui étaient mises dans le formule à partir de laquelle la boisson est faite, et en tout cas la boisson a tenu bon. Récemment, beaucoup de choses ont changé et il y a un ingrédient qui a été ajouté appelé « acide tartrique « qui est problématique et peut conduire à l’interdiction du fait du vin sans surveillance qui risque de s’y trouver et il est dorénavant impossible de l’utiliser. »
« Mais en tout cas, il convient de noter que sous notre surveillance cette substance n’est jamais entrée, et les superviseurs sont également constamment sur leurs gardes pour s’assurer qu’il n’y a pas de changements. Mais ceux qui consomment la boisson à l’étranger peuvent rencontrer ce problème qui, comme mentionné, est récent et rétrospectivement il était possible de le boire et maintenant c’est vraiment problématique de boire sans surveillance ».
A cette occasion, le rav tient à dire que le problème qui a été découvert n’a rien à voir avec le Cola normal et celui sans sucre. Ces boissons populaires ont toujours été problématiques, même si à l’étranger on les prend sans précaution. Il y a certainement lieu de les éviter et de ne les consommer qu’avec une surveillance.
