Ce jeune homme a vécu un cauchemar. Actuellement étudiant dans une Yeshiva du quartier de Ramot, à Jérusalem, il avait prévu de convoler en juste noce avec sa promise, une anglaise, résidant à Londres. La date du mariage avait été fixée, les cartons envoyés, les billets d’avion réservés pour tous les proches. Bref, les préparatifs battaient leur plein.
Mariage interdit en Angleterre pour un touriste. Il y a un mois de cela, le futur marié entreprend des démarches auprès de l’ambassade britannique en Israël. Il explique naïvement la situation et se voit opposer une fin de non-recevoir. La loi britannique interdit en effet à un touriste de se marier sur son sol. Non seulement les fonctionnaires ne lui octroient pas de permis, mais ils le signalent comme un élément susceptible de s’introduire clandestinement sur le territoire britannique.
La date du mariage approche et l’étudiant ne baisse pas les bras. Titulaire d’un passeport américain, il estime pouvoir tenter sa chance. Aussitôt arrivé dans l’un des aéroports londonien, il est repéré et emprisonné dans un centre de détention pour migrants illégaux.
Chabbat en prison
Informée, la belle-famille fait jouer ses relations. Le quartier de Gateshead s’agite mais rien n’y fait. L’infortuné voyageur passera le chabbat en prison et sera expulsé le dimanche. Retour à la case départ. Le futur époux arrive brisé en Israël. Le mariage devait avoir lieu le lendemain.
Lire la suite sur Coolamnews ici
Je ne comprends pas l’intérêt d’un tel article, ni même le ton.
On informe quelqu’un que les lois du pays ne lui permettent pas d’y réaliser son projet. Ces lois ne sont pas contraire au Da’ath Tora que je sache. Dès lors le principe de Dina demalkh’outa dina devrait s’appliquer.
Évidemment, les services douaniers s’attendent à ce que le « touriste » veuille quand même poursuivre son projet et contrevenir aux lois; donc, logiquement, ils le repèrent, le retiennent à la frontière et l’expulsent. Ç’aurait été un français, un chinois, un américain ou un danois, il se serait passé la même chose, non !
C’est donc un fait divers… désolant, certes, mais qui n’a pas sa place dans vos colonnes, je trouve.
À moins que quelque chose ne m’ait échappé dont j’aimerais alors bien être informé !
Bravo pour tout le reste.
Bon, avouons que tout ce qui passe sur le site ne vise pas toujours à enseigner le Da’ath Tora au bon peuple…
Mais il est vrai que dans le présent cas, il eut été bon de préciser que celui qui a sauvé ce couple de leur situation délicate a été le rav Arié Dérhy, qui y a mis du sien et a utilisé ses relations pour arriver à un dénouement positif…