Optimisme prudent avec un peu d’espoir Les pourparlers au sommet au Qatar sont bloqués – une délégation israélienne est partie pour le Caire afin de combler les écarts.
Les pays médiateurs poursuivent leurs efforts pour promouvoir un accord sur les otages et résoudre les questions restées en suspens lors des discussions au sommet au Qatar. Une délégation israélienne est partie pour le Caire afin de discuter de l’ouverture du passage de Rafah à la frontière avec l’Égypte.
Manifestations pour la libération des otages Les membres de la délégation israélienne pour les négociations sur un accord d’échange d’otages avec le Hamas ont rencontré des hauts responsables égyptiens au Caire pour explorer la possibilité de faire avancer un accord après la fin des discussions au Qatar et de gérer le passage de Rafah.
Les États-Unis, le Qatar et l’Égypte ont annoncé hier dans une déclaration conjointe que les efforts pour parvenir à un accord se poursuivent même après les pourparlers au sommet, et que les délégations continueront les discussions pour résoudre les points problématiques concernant l’accord qui mènerait à un cessez-le-feu à Gaza.
Des sources en Israël rapportent qu’il n’y a toujours pas de percée dans la question des compromis avec le Hamas et dans la tentative de parvenir à des ententes complètes ou partielles concernant l’allègement des conditions humanitaires dans la bande de Gaza, y compris l’accord pour rouvrir le passage de Rafah.
Netanyahou a « rejeté, par l’intermédiaire de la délégation israélienne lors des négociations à Doha, une proposition approuvée à la fois par l’Égypte et par les États-Unis pour l’ouverture du passage de Rafah », rapporte le journal « Al-Arabi Al-Jadid ».
Azi Hamad, membre du bureau politique du Hamas à Gaza, a confirmé que l’axe de la résistance « n’autorisera en aucun cas la présence de Tsahal dans aucune partie de la bande de Gaza », et a nié hier dans ses déclarations à la presse la validité de rapports spéciaux concernant la volonté d’Israël de se retirer de l’axe Philadelphie.
Kikar haChabbath
Sans vouloir créer polémique à ce sujet, nous sommes témoins d’une mascarade qui dure depuis huit mois, date à laquelle l’échange d’otages a été stoppé.
Tout cela va aboutir hélas malheureusement à l’exemple souvent raconté: l’opération a réussi mais le malade est mort.
C’est ce qu’il va se passer. Et on ne pourra que déplorer le fait qu’on n’a pas su se surpasser et appliquer à la lettre la Mitzva de Pidyon Shvuim.(rachat des prisonniers) Une des mitzvoths la plus importante de la religion juive, tant chère à notre peuple.
Faut-il renvoyer les personnes pensant ainsi au cas Shalit ? Nous lui devons, du fait des 1000 (!) terroristes libérés pour que lui le soit aussi, l’arrivée de Sinwar et de 999 autres terroristes terribles – allez faire le calcul des morts de chez nous que ces libérés ont pu provoquer !