La réponse de l’Iran au projet d’accord nucléaire a soulevé de vives critiques et inquiétudes au sein de l’administration Biden.
Be’hadré ‘Harédim
Malgré les progrès significatifs dans les négociations, l’Iran a présenté ce soir (entre jeudi et vendredi) sa dernière réponse aux derniers accords conclus par les parties aux pourparlers. Aux États-Unis, les réactions ont été qu’il s’agissait en fait d’un pas en arrière et que l’Iran était de « remettre les négociations en question – et que cela est très décourageant », selon le site « Politico ».
Jusqu’à présent, il semblait que bien que les parties ne soient pas encore parvenues à un accord – l’Iran et les États-Unis sont sur le point d’annoncer un retour à l’accord nucléaire. La semaine dernière, Washington a transmis la réponse américaine à la réponse de l’Iran au projet d’accord nucléaire – et les choses semblaient prometteuses.
Les enquêtes de l’Agence internationale de l’énergie atomique sur les restes présumés d’uranium sur des sites nucléaires non déclarés en Iran sont un sérieux élément de discorde. À ce jour, l’Iran n’a pas donné de réponses satisfaisantes à l’AIEA concernant les raisons de la découverte de ces restes – ce qui, aux yeux de l’Occident, renforce l’évaluation selon laquelle ils sont liés à l’ancien programme d’armes nucléaires de l’Iran d’il y a près de 20 ans. Les iraniens exigent la clôture de l’enquête sur ces questions comme condition pour revenir à l’accord – mais aux États-Unis, ils refusent, arguant qu’il s’agit d’une question sans rapport avec l’accord nucléaire, et l’AIEA a précisé que les diktats politiques ne conduiraient pas à la fermeture des enquêtes.
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