Israël a considéré l’élimination du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, au début de la guerre, comme faisant partie d’une frappe préventive, mais a finalement décidé de l’éviter en raison de la pression américaine et du risque d’allonger le combat.
JDN
À l’ombre du difficile incident survenu hier à Majdal Shams et sur fond de crainte d’une forte escalade qui conduirait à une guerre totale, ce soir (dimanche) la journaliste Keren Marciano rapporte sur News 12 qu’au début de la guerre, l’élimination du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, par Israël était déjà proche, mais à la dernière minute, il a été décidé de l’éviter.
Selon le rapport, lors de l’attaque préventive qu’Israël envisageait de mener au Liban le 11 octobre – quelques jours après le début de la guerre dans le sud – l’un des principaux objectifs de l’attaque était l’élimination de Nasrallah.
Comme mentionné, la frappe préventive n’a finalement pas eu lieu en raison de la pression américaine et de la crainte d’une escalade, ainsi que le fait que l’élimination en question aurait probablement entraîné de longues journées de combat.
Le plus gros problème des israéliens est leur indécision.