Le premier cas s’est produit lorsqu’un enfant d’un an et demi ne s’est pas réveillé chez lui à Netanya.
Yaakov Ben David, un volontaire de United Hatzalah, l’un des premiers intervenants sur les lieux, a déclaré: « Quand je suis arrivé sur les lieux, j’ai vu un bébé sans aucun signe de vie.
Selon sa famille, il ne s’est pas réveillé ce lundi matin. Avec d’autres membres du personnel médical d’urgence, j’ai effectué une RCR sur le nourrisson, mais après une longue tentative pour lui sauver la vie, nous avons été forcés de déclarer l’enfant mort.
En raison de la nature de l’incident, des psychologues ont été envoyée pour aider la famille. »
Le deuxième incident s’est produit à Jérusalem, lorsque les parents d’un enfant d’environ un an ont constaté que l’enfant ne s’était pas réveillé. Yechiel Mayburg, un volontaire de United Hatzalah, l’un des premiers intervenants sur les lieux, a déclaré: « Avec une ambulance et un médecin de United Hatzalah, j’ai pratiqué la RCR sur le nourrisson. Malheureusement, après une longue tentative pour sauver la vie de l’enfant, le médecin a été forcé de le déclarer mort. «
Pour rappel, le syndrome de mort subite du nourrisson est la mort soudaine du jeune enfant, âgé d’un mois à un an et apparemment en bonne santé, lors de son sommeil.
L’autopsie permet d’identifier une cause précise dans un cas sur dix, le plus souvent respiratoire ou infectieuse. Une anomalie génétique cardiaque (syndrome du QT long) est retrouvée également dans un cas sur dix. Dans moins de 5 % des cas, le diagnostic de mort subite du nourrisson est erroné, et le décès cache en réalité une intervention criminelle.
Source Koide9enisrael
