Le silence chinois envers l’organisme mondial de la Santé

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Illustration : La salle de réunion de l’OMS en Suisse

Le grand drame mondial, qui intéresse en fait le monde entier, est de savoir exactement quelle a été la conduite de la Chine quand elle a constaté l’explosion d’une nouvelle pandémie sur son territoire : oui ou non la Chine a-t-elle gardé par devers elle l’information, qui, pourtant, aurait permis de sauver des centaines de milliers de vies si elle avait été transmise à l’organisme mondial de la Santé à temps. Ce dernier aurait pu faire passer l’information et mettre en garde les pays du monde de ce nouveau danger, suggérer de fermer les frontières, au moins devant des ressortissants chinois, mais aussi devant d’autres, et, donc, sauver un nombre incalculable de vies.

Pourquoi la Chine aurait conservé ces informations par devers elle est une autre question, et l’on peut imaginer nombre de réponses, bien qu’elles reposent en générale sur la logique qui est la notre, celle de pays développés et normaux, alors que sous un régime communiste, dans un pays immense où la vie de l’individu n’a pas grand poids, la réflexion (car nous admettons qu’il y en a) peut prendre d’autres directions…

Là, l’agence de presse AP a dévoilé des enregistrements prouvant a priori que Trump a eu raison quand il a critiqué la Chine quant à sa conduite lors des premières semaines de l’explosion de la pandémie du corona, le tout, semble-t-il, afin de ne pas assombrir la répution du régime chinois !

Dans les enregistrements, divers hauts fonctionnaires de l’OMS se plaignent de n’obtenir des informations qu’un quart d’heure avant que la Chine ne les livre aux media, et d’un autre côté, que d’autres fonctionnaires redoutaient déjà en janvier qu’il s’agissait d’une pandémie ressemblant au SARS, à propos duquel la Chine avait déjà alors caché la réalité au monde.

Que peut-on faire à présent ?…

1 Commentaire

  1. Des centaines de milliers de morts
    Des tombereaux de milliards perdus
    Des licenciements par milliers et millions
    De la pauvreté et de la misère à l’horizon
    En une vague ou en plusieurs démultiplicatrices

    Vive la Chine, quoi !

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