À ce sujet, nous découvrons de nombreuses mentions de cette idée dans les Tehilim (149,6) : « Des hymnes louangeurs de D’ sur les lèvres, une épée à deux tranchants dans leur main », interprété ainsi par nos Sages (Berakhoth 5 et Midrach Michlé 2,12) : lorsque les Bené Israël prononcent des propos saints de Tora et de prière, et la lecture du Chema, alors la faculté de la grande sainteté contenue dans l’haleine de ces propos se répand dans l’atmosphère et élimine le pouvoir de l’impureté autour d’eux, et ils sont considérés comme des guerriers tenant en main une épée à double tranchant, acérée des deux côtés, pouvant ainsi rapidement tuer les ennemis des deux côtés.
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