Le BNVCA ne salue pas le prix Sokolow décerné au journaliste israélien islamo-palestinien Gideon Lévy, qui régulièrement met en cause les soldats de Tsahal, au nom de ses amours palestinistes.
COMMUNIQUE
Source Haaretz – Gideon Levy in the West Bank village of Turmus Ayya, on Monday.Credit: Alex Levac
Le BNVCA a été fort choqué d’apprendre que le second prix le plus important récompensant le journalisme israélien, le prix Sokolow, a été décerné au journaliste du Haaretz Gideon Lévy. Gideon Lévy est connu pour ses reportages à charge contre Tsahal, l’armée de Défense d’Israël, qui rappelons-le a initié pour la première fois au monde, le « Click sur le toit » afin de prévenir et donner le temps aux habitants des immeubles, ciblés comme bases ou caches de terroristes, d’évacuer les lieux. Ses détracteurs le caractérisent comme partial et l’accusent même de défendre le terrorisme et le soutien au boycott de l’Etat juif.
Pour mémoire, Sokolow (1859-1936) fut un écrivain engagé qui dédia son action au sionisme. Il traduisit notamment Altneuland de Theodor Herzl et dédia son action au sionisme. Il sera Président du Congrès Sioniste Mondial de 1931 à 1936.
Le BNVCA regrette et déplore que la mémoire de Sokolow soit bafouée par ce prix décerné par la ville de Tel Aviv, déjà réputée capitale de l’immoralité, qui confirme son esprit de perversion en offrant son prix à ce journaleux posant à côté d’une carte d’Israël où tous les noms de villes sont écrits en arabe, prouvant ainsi sa négation même de l’idée sioniste.
Le BNVCA a décidé d’adresser à l’ambassadeur d’Israël en France une lettre destinée à son gouvernement pour lui exprimer les récriminations du BNVCA et de ses nombreux correspondants, conscients du danger que représente pour eux, en diaspora, le choix insensé, anti israélien, insupportable et inadmissible de la Ville de Tel Aviv.