Le président Biden s’est moqué du chef de Wagner, Yevgeny Prigozhin, disant qu’il devrait vérifier ce qu’il mangeait après la rébellion. « Si j’étais lui, je ferais attention à ce que je mange », a plaisanté le président Biden. Les mots ont été prononcés dans le contexte des mystérieux assassinats des opposant à Poutine.
Be’hadré ‘Harédim – Yankee Farber
Le président Biden a déclaré hier qu’il n’avait aucune idée de l’endroit où se trouvait le chef de Wagner Yevgeny Prigozhin, mais a plaisanté en disant que le chef de Wagner devrait vérifier ce qu’il mange où qu’il se trouve. « Si j’étais lui, je ferais attention à ce que je mange », a déclaré Biden aux journalistes lors d’une conférence de presse à Helsinki, en Finlande, où il est en visite. « Je garderais un œil sur mon menu. »
Le président Poutine est connu pour enlever ou empoisonner ses adversaires, et le dirigeant de la force Wagner sait qu’il pourrait être le prochain.
Les paroles du président sont venues en réponse à la question d’un journaliste quant à savoir si la rébellion pourrait précipiter une action significative de la part du président russe Vladimir Poutine, comme l’utilisation d’armes nucléaires ou une nouvelle ingérence dans les élections américaines.
Poutine, président de la Russie depuis 1999, a déclaré que la rébellion avortée du groupe Wagner contre les commandants supérieurs de l’armée russe était très dangereuse et pouvait provoquer une guerre civile, mais malgré cela, il a permis à Prigozhin de quitter la Russie après la rébellion et n’a pas poursuivit en apparence quiconque du groupe Wagner.
