Alors que le fils continue de se battre pour sa vie à l’hôpital Soroka, son père Yossi a crié de douleur : « Que tout le peuple d’Israël prie pour son rétablissement. Des prières, seulement des prières, au moins qu’il vive, pas plus que ça. » Il a ajouté : « Je suis frustré par l’échec de l’armée. Comment les laisse-t-on s’approcher si près de la clôture ? »
Un jour après l’incident tragique au cours duquel le combattant de la patrouille frontalière Barel Hadaria Shmueli (notre photo), 21 ans, de Be’er Ya’akov, a été mortellement blessé par un terroriste à la frontière de Gaza, son père Yossi a fait part aux médias de l’immense douleur qu’il ressentait et de la frustration suite à ce qui a causé l’incident.
Le père a douloureusement appelé tout le peuple d’Israël à prier pour la sécurité de son fils, qui se bat actuellement pour sa vie à l’hôpital Soroka de Be’er Sheva. Le père Yossi s’est écrié : « Tout le peuple d’Israël priera pour sa sécurité, au moins il vivra, pas plus que cela. Que le Créateur du monde le fortifie, le protège et lui permette de reprendre une vie normale. »
Il a ensuite fait référence à l’omission qui a conduit à la blessure grave de son fils : « Je suis frustré par leur imprudence, comment laissez-vous les gens s’approcher de la frontière, jusqu’à la clôture ? C’est un garçon qui a purgé trois ans et en a deux de plus il reste des mois… 5 mètres plus près de la clôture ? Que faut-il faire ? Il faut les faire reculer ! De qui ont-ils peur ? Qu’est-ce que c’est, les moutons ?! Je ne comprends pas. »