Un médecin volontaire dénonce l’emprise du Hamas sur Gaza
Récemment, le Dr Baxtiyar Baram, un médecin étranger qui s’est porté volontaire dans le nord de la bande de Gaza, a livré un témoignage glaçant sur les agissements du groupe terroriste Hamas au pouvoir. Selon ses révélations, le Hamas exploite les infrastructures hospitalières à des fins purement idéologiques et politiques, au détriment de la population civile gazaouie.
Cette situation alarmante illustre à quel point le Hamas instrumentalise le système de santé, censé rester neutre et accessible à tous. En détournant ces ressources vitales à son profit, le mouvement islamiste bafoue les principes humanitaires les plus élémentaires.
Au-delà de cette exploitation éhontée, le Dr Baram souligne que le Hamas exerce un contrôle quasi-total sur la population gazaouie par la terreur et l’omniprésence de ses milices armées. Seule une infime minorité, estimée à 10%, soutiendrait activement le groupe terroriste. La grande majorité des habitants subirait ce joug dans la crainte de représailles.
Cette emprise se manifeste également par l’incapacité des Gazaouis à bénéficier pleinement de l’aide humanitaire internationale, souvent détournée par les groupes mafieux opérant sous la gouvernance de fait du Hamas.
Face à ce sombre tableau, le témoignage du Dr Baram vient corroborer la position d’Israël, qui pointe la responsabilité du Hamas dans la crise humanitaire à Gaza. En refusant la voie du dialogue et de la paix, le groupe palestinien radical condamne ses propres populations aux pires souffrances.
Israël réaffirme sa volonté de favoriser l’acheminement de l’aide vitale, tout en combattant une organisation qui n’a de cesse d’appeler à sa destruction. La communauté internationale se doit d’unir ses efforts pour mettre un terme aux agissements criminels du Hamas et rétablir la stabilité dans cette région éprouvée.
Seule une solution politique durable, débarrassée de l’emprise des extrémistes, pourra permettre aux Gazaouis de recouvrer leurs droits humains fondamentaux, trop longtemps bafoués par leurs propres dirigeants.
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