Le Hamas et le génocide contre Israël

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Par Dawid Bunikowski

« Article II : Dans la présente Convention, le génocide désigne l’un quelconque des actes ci-après, commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel… » — Définition du génocide, Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme, 9 décembre 1948.

Leur objectif génocidaire, clair pour les terroristes du Hamas, était d’assassiner des Juifs ; d’autres, comme des Asiatiques et des musulmans, ont également été assassinés. Ce qui est éclairant, c’est la facilité avec laquelle le monde civilisé a accepté, dans ce cas précis, ce meurtre ainsi que l’enlèvement de 250 otages. Ceux qui massacrent et prennent des otages devraient être l’objet de honte et de condamnation. Au lieu de cela, ils ont souvent été célébrés.

Israël a dû répondre à ce massacre. Selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, surnommé par Andrew Roberts « le Churchill du Moyen-Orient », les objectifs d’Israël sont de « ramener les otages de Gaza, d’éliminer les capacités militaires et gouvernementales du Hamas, de s’assurer que Gaza ne constitue pas une menace contre Israël et de renvoyer les résidents israéliens déplacés en toute sécurité dans leurs foyers, tant au sud qu’au nord ». L’objectif d’Israël n’est pas de détruire les Palestiniens, les Arabes ou les civils de Gaza.

La situation des déplacés de Gaza – les évacuations temporaires sont autorisées par l’article 49 de la Convention de Genève IV – est certes regrettable, mais le principal problème est la nature agressive des régimes totalitaires de l’Iran et du Hamas. C’est ce qui a conduit au massacre du 7 octobre et qui est la principale raison de la guerre et des pertes humaines à Gaza.

« Israël a mis en œuvre plus de mesures pour prévenir les pertes civiles que toute autre nation dans l’histoire » ; « Israël a créé une nouvelle norme pour la guerre urbaine : pourquoi personne ne l’admettra ? » — John Spencer, président des études sur la guerre urbaine au Modern War Institute de West Point ; Newsweek, 31 janvier 2024 et 25 mars 2024.

C’est en réalité l’Iran et le Hamas qui devraient être jugés pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

« Le Hamas est un mouvement religieux, et il s’agit d’un mouvement religieux furieux contre Israël. Les médias grand public ne peuvent pas le dire parce qu’ils ont peur de déclencher une guerre de religion. Et ce que je dis, c’est déjà le cas. Ils veulent anéantir le peuple juif parce qu’il est un peuple juif, parce qu’il est un État juif. » — Mosab Hassan Yousef, fils du cofondateur du Hamas, Cheikh Hassan Yousef, Fox News, 23 octobre 2023.

 

Dawid Bunikowski est titulaire d’un doctorat de l’Université Nicolas Copernic de Toruń, en Pologne (2009), et réside en Carélie du Nord, dans l’est de la Finlande. Il a obtenu le titre universitaire de docent de l’Université de Laponie (Finlande) à la demande du Centre arctique (2022). Il a publié des articles à l’échelle internationale et a été invité à donner des conférences dans des universités européennes et non européennes.

 

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