Le Hamas contre Hussein al-Sheikh (notre photo). Le mouvement Hamas a lancé une virulente campagne de dénigrement contre Hussein al-Sheikh, le secrétaire général du comité de travail de l’OLP, qui a annoncé dans un entretien à la presse qu’il méritait d’être le successeur d’Abou Mazen.
En Israël et dans l’administration Biden, on craint des assassinats dans le cadre de la bataille de succession. Hussein al-Sheikh, secrétaire général du comité de travail de l’OLP, est confiant. La semaine dernière, le président de l’Autorité palestinienne, Abou Mazen, l’a présenté au président Biden qui s’est rendu à Bethléem et il a reçu sa bénédiction en tant que successeur possible du président de l’Autorité palestinienne dans le contexte qu’il quitterait la scène politique juste après la tenue d’élections générales dans les territoires. En début de semaine, Hussein al-Sheikh s’est rendu à Doha, la capitale du Qatar, il a rencontré le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères Mohammed bin Abdel Rahman et l’a informé des développements politiques suite à la visite du président Biden à Jérusalem-Est et à Bethléem.
Hussein al-Sheikh bénéficie du soutien d’Israël, de l’Égypte, de la Jordanie, de l’Arabie saoudite et du Qatar pour le poste de président de l’Autorité palestinienne
Hussein al-Sheikh bénéficie du soutien d’Israël, de l’Égypte, de la Jordanie, de l’Arabie saoudite et du Qatar pour le poste de président de l’Autorité palestinienne, il est considéré comme la continuation de la ligne politique d’Abou Mazen et le maintien des relations avec Israël, le renforcement la coordination de la sécurité et la stabilité de l’Autorité palestinienne.
Un risque de chaos sécuritaire
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Israël, les États-Unis et les Arabes des pays modérés craignent que le départ d’Abou Mazen n’entraîne un chaos sécuritaire en Cisjordanie ( Judée-Samarie) et des combats. Un héritage sanglant, donc, pour eux, Hussein al-Sheikh est le candidat temporaire au poste de président de l’AP après Abou Mazen afin de stabiliser la situation sécuritaire jusqu’à ce que des élections générales aient lieu et qu’un nouveau président de l’AP soit choisi. Hussein al-Sheikh a une alliance politique avec le général Majed Faraj, le chef des renseignements palestiniens qui bénéficie du soutien de l’establishment sécuritaire israélien et de la CIA et de la protection du régime temporaire d’Hussein al-Sheikh avec l’aide des forces de sécurité israéliennes. Une venimeuse campagne d’incitation contre Hussein al-Sheikh
Il y a quelques jours, Hussein al-Sheikh a accordé une interview au journal « New York Times » dans laquelle il a évoqué la visite du président Biden au Moyen-Orient et s’est déclaré comme quelqu’un qui se considère comme le successeur d’Abu Mazen.
Jforum – Groupe Israël Eternel