COMMUNIQUE
Une fois encore les séditieux, ceux qui veulent abattre la République, se servent du sport pour répandre leur haine de la France. Le prétexte de la « cause palestinienne » en est l’alibi.
La banderole largement déployée dans la Tribune d’Auteuil au Parc des Princes, n’a curieusement pas intrigué les organisateurs et encore moins les supporters du PSG.
Au contraire, l’UEFA a décidé de n’engager aucune sanction à l’encontre du PSG puisque selon elle, «Il n’y aura pas de cas disciplinaire puisque la banderole déployée ne peut pas être considérée comme provocatrice ou insultante dans ce cas précis»
Il reste que l’article 16.4 du règlement disciplinaire de l’UEFA interdit «tout message provocateur inadapté à un événement sportif», notamment «tout message provocateur de nature politique, idéologique, religieuse ou insultante »
L’UEFA n’a cure de sa propre charte.
Non seulement cette banderole est un acte répréhensible qui viole la déontologie et les valeurs fondamentales du sport, mais encore, est une insulte à la souveraineté française
En effet, cette banderole montre une carte de « l’Etat palestinien » qui occulte l’Etat d’Israël remplacé par le mot Palestine.
Cette banderole se veut un appel à la paix. La paix des cimetières probablement.
Les condamnations indignées du Ministre de l’Intérieur et d’autres autorités n’ont pas suscité de réactions à la mesure de l’injure.
Le BNVCA constate avec regret que désormais, il est permis en France de s’affranchir des lois de la République, d’appeler là la destruction d’un Etat avec lequel la France entretient des relations diplomatiques sans encourir les foudres de la loi, sauf à essuyer de pudiques condamnations.
Le BNVCA rappelle que ces entreprises sont de purs actes de haine, qui sont dirigés en priorité contre la Communauté juive, par des segments importants de la population et que sans le bouclier de la loi, des lendemains sombres se dessinent quant à la paix publique et à l’unité de la République.
Ces agissements apportent le désordre social et la dissolution de l’unité nationale.
Le BNVCA demande que les Autorités de l’Etat réagissent avec fermeté en réprimant les auteurs de ces actes avec sévérité.