« L’apartheid en Israël » : la colère de citoyens juifs et des vrais antiracistes

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Tribune parue sur l’Express le 11/8/2021

« Les Juifs et les vrais antiracistes sont en colère » : en colère contre les médias qui prennent leurs désirs pour des réalités !

Le 6 juillet 2021, Libération avait publié un énième manifeste antisioniste, signé par la clique des obsédés que l’existence de l’État hébreu empêche de dormir. Celui-ci est signé par un « collectif de 1000 personnalités reconnues » (Libération), reconnues par Libération comme israélophobiquement correctes, dans un but officiel :

« Pour que 2021 soit l’année de la fin de l’apartheid en Israël. »

Le désir des signataires n’est surtout pas que l’apartheid, qui n’existe que dans leur imaginaire, cesse, mais que le monde entier partage leur préjugé anti-israélien.

La réalité d’Israël, c’est une démocratie enviée par une bonne partie des habitants de TOUS les pays arabo-musulmans régis par la charia. En Israël, les citoyens ont tous les mêmes droits, au point que le gouvernement actuel est constitué d’une coalition de plusieurs partis dont un parti arabe se réclamant des Frères Musulmans, interdits dans presque tous les pays arabes.

La réalité d’Israël, c’est que les Juifs, présents sans discontinuer sur cette terre depuis près de 3 000 ans, se sont libérés, en 1948, de 1 400 ans de colonisations et de persécutions musulmanes et de 28 ans de colonisation britannique. La réalité c’est que les islamistes refusent qu’une terre conquise par l’Islam puisse se libérer. Pour eux, les Juifs ne sont que des « dhimmis », des êtres inférieurs, et en Islam l’on ne négocie pas avec les dhimmis ! Mais leur vrai but, à peine voilé, n’est-il pas que s’accomplisse leur rêve de rayer Israël de la carte du Moyen-Orient ? Et ce, alors que les Juifs sont indigènes de cette terre depuis 3 000 ans, bien des siècles avant l’arrivée des Arabes, des Turcs, des Britanniques et autres colonisateurs.

Nous sommes en colère contre les intellectuels qui n’utilisent pas leur intellect !

Les pires ennemis des Juifs sont ceux qui croient leur légitimité garantie par des étiquettes séduisantes :

« université », « droits de l’homme », « droit international », « antiracisme », « cause palestinienne », « suprématisme juif »…

Ils agglomèrent les haines et les frustrations autour d’un bouc émissaire, le même depuis près 2 000 ans.

Les signataires du présent texte en ont marre de voir les Juifs de France être la cible des communistes et des anti-communistes, des homophobes et des LGBTAZERTY++, des lepénistes vintage et des mélenchonistes éternels, des antisionistes et des islamistophiles, des féministes new age et des transphobes, des combattants pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et des anti-droit-du-peuple-juif-à-décider-pour-lui-même, des nationalistes souverainistes et des universalistes anti-mondialistes, bref, de tous ceux qui ont besoin d’une victime à sauver et d’un coupable à haïr.

Douze Juifs ont été tués en France parce que Juifs depuis 2003. A-t-on jamais entendu ces « experts » crier :

« je suis Ilan Halimi, Sébastien Selam, Mireille Knoll, Myriam Monsonégo, Sarah Halimi, etc. ?

Ces « intellectuels », savent-ils que…

… Au cours des dix dernières années le nombre d’étudiants arabes inscrits dans les universités israéliennes a augmenté de 78 % ? Pourquoi s’inscrivent-ils dans les universités israéliennes, alors que la « Cisjordanie » dispose d’une quarantaine d’universités, instituts, centres de recherches, etc. ? Combien de Juifs israéliens y sont-ils étudiants ? Zéro : ils ne peuvent entrer dans les Territoires palestiniens que sous protection militaire. Sinon, ils sont kidnappés (comme deux déficients mentaux israéliens, prisonniers au secret à Gaza depuis 2014 – le Temps) ou lynchés à mort, sur place, comme c’est arrivé à deux réservistes égarés à Ramallah en 2000 et ce sous les yeux de journalistes restés tous silencieux (à l’exception d’un Italien, YouTube).

Savent-ils que depuis des décennies, la moitié du personnel médical des hôpitaux israéliens est constituée d’Arabes israéliens ? Comment auraient-ils pu obtenir leurs diplômes si l’apartheid existait ? Comment pourraient-ils être chefs de service, directeurs de départements, responsables des urgences dans les hôpitaux israéliens ?

Ces intellectuels veulent ignorer les propos du fondateur de Human Rights Watch (décrite par Libération comme une « ONG internationale de défense des droits humains mondialement respectée »), qui a choisi d’en démissionner :

« l’organisation avait perdu toute perspective critique sur les événements au Moyen-Orient : la région est peuplée de régimes autoritaires dont le bilan en matière de droits de l’homme est épouvantable. Pourtant, ces dernières années, Human Rights Watch a émis beaucoup plus de condamnations d’Israël pour des violations du droit international que contre tout autre pays de la région » (NY Times).

Si ces « intellectuels » étaient vraiment contre l’apartheid, ils le condamneraient partout. Les seuls États où règne un apartheid systémique, ancré dans les textes officiels, sont ceux régis par la charia, là où les hommes sont supérieurs aux femmes et les musulmans supérieurs à tous les autres habitants de la planète. Or, bizarrement ce sont les seuls à bénéficier de l’indulgence et de l’impunité de ces redresseurs de torts.

Oui, l’apartheid, le vrai, existe, mais aux portes d’Israël, dans les entités palestiniennes Judenrein (purifiées des Juifs) de Gaza et de « Cisjordanie », où pas un Juif n’est toléré. Son président élu pour 4 ans en 2005, a déclaré à la télévision officielle de l’Autorité palestinienne :

« La mosquée Al-Aqsa et l’église du Saint-Sépulcre sont à nous. Elles ne sont qu’à nous et ils n’ont pas le droit de les souiller avec leurs pieds répugnants (Vidéo du 16 septembre 2015 – Memri). »

Le même Abbas, employant indifféremment en arabe les termes « juif » et « israélien », souligne à propos d’un éventuel traité de paix :

« Dans une résolution finale, nous ne verrons pas la présence d’un seul Israélien – civil ou soldat – sur notre territoire… » (Le Caire, juillet 2013 – Foxnews)

Si ces « antisionistes » étaient honnêtes…

… Ils manifesteraient contre la dictature de Mahmoud Abbas à Ramallah et de Yahya Sinwar à Gaza, ils soutiendraient le peuple palestinien qui souffre de la corruption et de la dictature de ses dirigeants, lesquels envoient soigner leurs familles et se font soigner eux-mêmes dans les hôpitaux de « l’apartheid israélien ».

… Ils auraient dénoncé le récent assassinat de sang-froid de Nizar Banat, seul opposant à Mahmoud Abbas, par les tortionnaires de sa police politique.

… Ils se rappelleraient les mots de Franz Fanon :

« Quand vous entendez dire du mal des Juifs, dressez l’oreille, on parle de vous. »

… Ils rougiraient en se reconnaissant dans les propos du visionnaire Vladimir Jankélevitch :

« L’antisionisme est une incroyable aubaine, car il nous donne la permission – et même le droit, et même le devoir – d’être antisémite au nom de la démocratie ! L’antisionisme est l’antisémitisme justifié, mis enfin à la portée de tous. Il est la permission d’être démocratiquement antisémite. Et si les juifs étaient eux-mêmes des nazis ? Ce serait merveilleux. »

Mais, honnêtes, ils ne le sont point, ils sont juste antisionistes. 


Les signataires : Yana Grinshpun (linguiste et analyste du discours, maître de conférences), Liliane Messika (écrivain, traductrice), Alexandre Feigenbaum (chercheur, président de Dhimmi Watch), Jean-Pierre Lledo (cinéaste, écrivain), Yves Mamou (journaliste), Beate Klarsfeld (chasseuse de nazis et d’antisémites), Serge Klarsfeld (chasseur de nazis et d’antisémites), Arno Klarsfeld (avocat), Evgeny Kissin (musicien), Elie Chouraqui (cinéaste), Pascal Bruckner (philosophe), Ziva Postec (monteuse, chef-monteuse notamment du film « Shoah »), Pierre-Henri Tavoillot (philosophe), Pierre Jourde (écrivain), Zohra Bitan (chroniqueuse « Les Grandes Gueules », RMC), Michèle Tribalat (démographe), Sophie Chauveau (écrivaine), Gunther Jikeli (historien et sociologue), Jean-Pierre Winter (psychanalyste et essayiste), Fadila Maaroufi (fondatrice de l’Observatoire de Laïcité), Gérard Rabinovitch (philosophe), Clément Weill-Raynal (journaliste), Bat Ye’or (historienne, écrivain, spécialiste de la dhimmitude), Peggy Sastre (journaliste), Jean Szlamowicz (linguiste), Georges-Elia Sarfati (professeur des universités, directeur de l’Ecole Française d’analyse et de thérapie existentielles), Jean-Serge Lorach (avocat honoraire, membre du conseil fédéral et ancien vice-président de la Licra, ancien déporté à Bergen-Belsen), Jacques Tarnero (cinéaste, écrivain et journaliste), Dov Fitoussi (fondateur et rédacteur en chef de Mabatim.Info), Gilles-William Goldnadel (avocat), Pierre Lurçat (avocat, écrivain, traducteur), Aude Weill-Raynal (avocate), Ari Sebag (citoyen engagé), Yves Doukhan (consultant, coach en management, membre du bureau Dhimmi Watch), Alain René Arbez (Abbé), Serge Skrobacki (cadre dirigeant de grande entreprise), Katia Joffo (directrice de la publicité littéraire du Figaro, fondatrice de Littéraire communication), Evelyne Tschirhart (professeur honoraire d’arts plastiques, écrivain), Michel Granek (psychanalyste), Rachel Israël (psychanalyste), Raphaël Delpard (cinéaste et romancier), Frédéric Zerbib (avocat, entrepreneur géopolitique, chef de projets), Marc Brzustowski (sociologue, chroniqueur), Janine Pinto (directrice de Prépas à la retraite), Pierre Aiach (sociologue, ex-directeur de recherche à l’Inserm), Michel Gad Wolkowicz (psychanalyste, professeur de psychopathologie, président de l’Association internationale interuniversitaire Schibboleth – Actualité de Freud), Babeth Zweibaum (pharmacien), Michel Zweibaum (pharmacien biologiste), Patrick Bantman (psychiatre psychothérapeute), Laurence Bantman (psychiatre psychothérapeute), Jean-Pierre Brun (dirigeant d’entreprise industrielle à la retraite, écrivain), Joseph Boumendil (chercheur à la retraite), Thérèse Zrihen-Dvir (écrivain, essayiste), Sammy Ghozlan (commissaire à la retraite, président du BNVCA), Monique Sander (vice-présidente de P.E.R.E.C.), Janine Elkouby (agrégée de lettres classiques, responsable associative, écrivaine), Estelle Kartowski (médecin généraliste à la retraite), Wolf Albes (maître de conférences à l’Université d’Augsbourg, écrivain et éditeur), Alain Alpern (retraité), Jean-Pierre Chemla (médecin, écrivain, essayiste), Joëlle Chemla (citoyenne engagée), Carine Bruckert (citoyenne retraitée et engagée), Laurence Brust (traductrice), Yaël Hassan (écrivaine), Marie Autesserre (contributrice à différents sites internet), Roland Assaraf (physicien, chargé de recherches au CNRS), Charles-Pinhas Laloum (chef d’entreprise), Gilles Falavigna (essayiste), Anna Senik (ex directrice de recherche émérite au CNRS), Henry Dbjay (chirurgien), Edith Ochs ( journaliste, traductrice, écrivain), Marc Nacht (écrivain), Jacques Borek (psychanalyste), Maud Perl (créatrice de mode), Colette Busidan (conférencière, écrivain), Marc Hassan (cadre), Lucile Gellman (psychologue clinicienne, psychanalyste), Laurent Chikly (directeur commercial), Claude Berger (écrivain et musicien), Isabelle Goeau-Brissonniere ( musicienne), Albine Vernier (artiste plasticienne), Jean-Loup Msika (architecte-urbaniste et plasticien), Lucien Samir Oulhabib ( philosophe), Jean-Louis Giard (directeur d’éditions Saint-Léger), Alexandre Krivitzky (psychanalyste), Marc Angenot (professeur, historien des idées), Jean Giot (linguiste), Yvette Sitbon (principal honoraire), Gérard Marx (membre fondateur de la loge Hatikva Bnei Brit), Claudine Attias (sociologue), Olga Baley ( traductrice, essayiste), Jean-Eric Schoettl (juriste), Bluma Finkelstein (professeur), Noémie Halioua (écrivain, essayiste), Isabelle Blondiaux (psychiatre et psychanalyste), Hala Oukili (journaliste), Nathalie Friedlander (entrepreneuse), Marie Myriam Blondel (philosophe et proviseur), Maurice Berger ( enseignant co-responsable du D.U. Expertise légale en pédopsychiatrie à l’Université de Paris), Gilbert Milhem (ingénieur à la retraite), Richard Rossin ( chirurgien, écrivain, ancien secrétaire général de Médecins sans frontières, cofondateur de Médecins du monde), Vincent Tournier (politiste), Marcel Aguilar, Guillaume Bigot (doyen IPAG Business School), Frank Muller (historien), Jean-Charles Goldberg (agent commercial), Werner Salmon (ancien représentant du Bnei Brit à l’Unesco), Tony Milhem (formatrice), Roger Guedj (professeur émérite), Henryk Paszt (chef d’entreprise, administrateur Infoéquitable, Licra et Printemps républicain), Jean-Claude Busidan (ancien chef d’établissement d’enseignement secondaire), Fabien Ghez (ingénieur, retraité), Chantal Bosse-Vidal (présidente de la section Licra de Neuilly), Marie-France Hadida (assistante de direction), Sidney Hadida (médecin anesthésiste réanimateur), Pierre Vasen (cadre hôtelier, retraité), Nicole Geismar Vasen (assistante dentaire, retraitée), Alfred Derrida (ancien avocat), Ilana Hason (psychanalyste), Salomon Hatchuel (enseignant et écrivain) Malcolm F. Lowe (philosophe et chercheur sur le Nouveau Testament), Robert Benchetrit (retraité, ex-cadre supérieur de l’industrie), Claire Brière Blanchet (journaliste, auteur), Monique Gosselin-Noat (professeur émérite des universités, Paris-Ouest), Raphaël Lévy (cinéaste, écrivain, dessinateur), Renée Chouraqui (infirmière en chef, retraitée), Roland Aboucaya (enseignant à la retraite), Joseph Ciccolini (hospitalo-universitaire), Colette Guedj (professeur d’université émérite, écrivaine), Alain Rubin (directeur de la Tribune Libre des Caraïbes, retraité), Jean-Luc Ammar (ostéopathe – masseur-kinésithérapeute), Georges Neu (ancien chef consultation Hôpital Necker enfants malades, Solidarité Réfugiés israélites), Monette Vacquin (psychanalyste), Jean-Jacques Hadjadj (retraité), Claude Frydman (ingénieur retraité, ancien président de l’ESFC (École sans frontière de Condorcet), Delphine Reimon (orthophoniste), Hortense Bile (secrétaire de Dhimmi Watch, présidente de Amifa), Samir Lucien Oulahbib (philosophe), Albert Marouani (professeur émérite des universités en sciences économiques, président honoraire de l’Université Nice-Sophia Antipolis), Yvette Sitbon (principale honoraire), Edith Zelmati ( « traiteur » bio végétarien), Nadine Benaroch-Goodban (professeur de français), Denise Malet, Albert Eichacker (fonctionnaire retraité), Jacques Fiorentino (médecin), Paulette Touzard (présidente de l’Association pour la mémoire des enfants juifs déportés du Nord Pas de Calais, membre du bureau national du Conseil national pour la mémoire des enfants juifs déportés de France), Jacques Lamy (consultant indépendant en commerce extérieur), Marguerite Zauberman (magistrat de l’ordre judiciaire honoraire, médiateur), Gilles Hayoun (médecin), Jean-Eric Wagner (kinésithérapeute), Pascal Stiegler (professeur de lettres classiques), Ben J. Franken (économiste), Charles Ingwer (médecin), Thibault Moreau (psychanalyste, vice-président de Schibboleth – Actualité de Freud), Eliane Klein (professeur retraitée, déléguée du Crif pour la région Centre), Ezra Banoun (ingénieur expert en traitement de l’eau et de l’environnement, maître de conférences à l’Institut international de management de Galilée), Jean-Claude Abécassis (président d’association), Edith Taieb, Jacques Weill (médecin hospitalier), Françoise Ouzan (écrivain, historienne), Jean-Serge Lorach, Mireille Bouzols-Breton (directrice juridique et juge à la retraite), Eli Klein, Paul Atlan (gynécologue directeur du diplôme d’université d’éthique transculturelle Paris-Descartes Université de Paris), Thierry Amouyal (chroniqueur), Eliane Birau, Anne Gartenlaub, Christine Bouchara (correctrice), Xavier-Laurent Salvador (linguiste), Charles Coutel (professeur des universités, philosophe), André Quaderi (professeur des Universités émérite, psychothérapeute), Roselyne Koren (professeur des universités émérite, linguiste), Denis Zilber illustrateur), Ibn Warraq (essayiste), Jean-Paul Sermain (professeur des universités émérites), Pierre Rehov (cinéaste, romancier), Franck Lessay (philosophe), Andrée Lerousseau (maître de conférences germaniste et historienne des idées, Université de Lille), Chanel Diagne (Comité Soudan) Nadia Lamm (enseignante), Gilles Ferreol (professeur de sociologie à l’Université de Franche-Comté), Jean-Marc Richard (proviseur, historien), Jean-Pierre Nakache (avocat retraité), Gérard Lehmann (professeur assistant émérite, Université de Danemark Sud), Françoise Serrero, Marc Benitta (retraité), Max Sitbon (médecin), Jean-Paul Spina (conseil en développement international), Francette Mendoza (présidente d’associations de parents d’élèves, déléguée départementale de l’Education nationale, retraitée), Danielle Malka (Guide-conférencière Paris-Ile de France), Jo Murciano (vice-président Loge Bnai Brit Ben Gourion), Yvette Folk (retraitée), Denise Lorthois (écrivain), William Halimi (PDG du groupe Barbara Bui), Anne Gartenlaub (cadre à la retraite), Marie-Annick Couderc, Marie-Agnès Azuelo (productrice, auteur), Edwin Diday (professeur émérite, François Fraiberger (ancien juge au tribunal de commerce de Paris, administrateur de la Fondation pour l’enseignement du judaïsme à l’Université de Lausanne), Jean-Bernard Paillissier, Rachel Ehrenfeld (American Center for Democracy), Thierry Laidet (chef d’entreprise), Elisabeth Athuil-Boucher ( retraitée, ancienne directrice de cabinet du maire du 20e arrondissement de Paris), Wladimir Gutowski (ex-fonctionnaire de l’Union européenne et porteur d’un projet « Plateforme fédérale du judaïsme de l’Union européenne »), Florence Gay-Bellile (créatrice d’un organisme de formation destiné à favoriser l’insertion d’un public adulte issu de l’immigration), Gilbert Freyermuth (membre de la LICRA , conciliateur de Justice), Paul Memmi (enseignant d’éducation civique et morale), Victor Perez (blogueur), Philippe Bliah (avocat à la retraite), Oriella Bliah (docteur en pharmacie), Laurence Seddig (AMEJD de Lille Saint-André), Yehuda Moraly (professeur de théâtre, chercheur), Rahmine Clément Bouhnik (chef d’entreprise à la retraite), Marc Rozenbaum (traducteur), Albert Eichacker (fonctionnaire, retraité), Michèle Kadouch (médecin retraitée), Eléonore Breton (directrice de service client), Maurice Baran-Marszak (ancien ingénieur chercheur au CNRS, membre de l’AMEJD Nord-Pas-de-Calais, des FFDJF et du Mémorial de la Shoah), Alain Turkieltraub (directeur d’usines retraité), José Ainouz (historien et réalisateur), Léa Régine Bouhnik (comptable à la retraite), Yana Wanda (psychanalyste), François Lavigne, Edouard Lebhar (chirurgien hospitalier), Lilianne Lebhar (professeur en sciences économiques)….

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