La vie brisée de ces enfants juifs gravement brûlés par des terroristes «palestiniens », et dont personne ne parle
Le 28 mai a eu lieu -plus de quatre ans après les faits – le procès d’un des terroristes arabes qui le 23 octobre 2015 a tendu une embuscade à une famille israélienne au nord de Jérusalem. L’attaque avait visé la voiture de Sigal Sofer, qui avec son mari et ses trois enfants, se rendaient chez des amis pour passer le Chabbath.
En chemin, des terroristes arabes dits «Palestiniens», attendaient, cachés à l’ombre d’une colline, qu’une famille juive passe pour pouvoir lancer les bombes incendiaires qu’ils avaient soigneusement préparées pour l’occasion. L’une de ces bombes, «venue de nulle part », comme le déclara lors du procès Sigal Sofer, entra à l’arrière de la voiture où se trouvaient ses trois enfants : Tair, 11 ans, Matan, 10 ans et Tahel, 3 ans. C’est cette dernière qui fut le plus grièvement blessée.
La confusion fut totale dans le véhicule: alors que ses enfants étaient en feu, Sigal réussit, tout en hurlant « pas encore !» (car elle avait déjà été attaquée et poignardée dans sa maison du Goush Katif quelques années plus tôt par un djihadiste qui s’y était infiltré…), à atteindre un poste de Tsahal qui prit la famille en charge.
À 3 ans, Tahel, dut subir de nombreuses opérations chirurgicales et resta plusieurs mois à l’hôpital. Aujourd’hui, alors qu’elle a 7 ans, ni les terribles cicatrices des brûlures qui se trouvent sur son corps, ni le traumatisme psychologique qu’ elle a subi ne pourront s’effacer. Le terroriste arabe a reçu une peine dérisoire de 16 ans de prison qu’il purgera dans l’une des prisons-hôtels que la justice israélienne laxiste offre aux détenus dits de sécurité : télévision dans chaque cellule, journaux à volonté, tables de ping-pong, apprentissage d’un métier et repas spéciaux pour les fêtes musulmanes (un rapport décrivant ces faits vient de paraître après une bataille légale gagnée par l’organisation Im Tirtzu qui a obligé le service israélien des prisons à divulguer les traitements de faveur offerts aux terroristes arabes vivant aux frais du contribuable de l’État juif).
Cette tragique affaire est malheureusement loin d’être unique puisque, par exemple, en 2017, le terroriste Mohamed Badwan fut condamné à 18 ans de prison pour avoir aussi brûlé vive à l’aide d’un cocktail Molotov la petite Ayala Shapira, 11 ans, et son père qui voyageaient aussi en voiture. La petite Ayala Shapira fut défigurée à vie.
Les douleurs physiques et morales que ces enfants et leurs familles ont a endurer tous les jours, et durant toute leur vie, devraient rappeler à chaque responsable politique et militaire israélien que nous avons face à nous des hordes de bêtes sauvages fanatisées que seule un guerre totale pourra anéantir.
Tous ceux qui soutiennent de près ou de loin la prétendue et foutue « cause palestinienne» sont les complices de ces barbares ciblant sciemment des familles juives pour les assassiner ou les faire souffrir .
© Frédéric Sroussi (journaliste-essayiste) pour Europe-Israël.org