La cour suprême accorde un délai de 2 jours à Mendelblit pour répondre

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La Haute Cour a accordé à Dr Mendelblit une prolongation de deux jours pour présenter sa position sur les pétitions déposées contre Netanyahou afin de l’empêcher de diriger le gouvernement.

Be’hadré ‘Haréditm

Après que le procureur général Avihai Mendblit a demandé à la Haute Cour de lui accorder un délais pour soumettre sa position, le juge de la Cour suprême Yitzhak Amit a répondu positivement à sa demande. Les pétitionnaires soutiennent que Netanyahou ne devrait pas être autorisé à former un gouvernement, à la lumière des accusations portées contre lui.

Selon la décision d’Amit, Mendelblit devrait présenter sa position sur la question d’ici jeudi à 14h00.

La pétition a été déposée par diverses associations ainsi que par 122 autres personnalités publiques représentées par l’avocate Daphne Holt-Lechner.

Plus tôt ce matin (mardi), diverses réactions ont été enregistrées.

La réponse de Netanyahou : « Sans tenir compte de la présomption d’innocence dont dispose chaque personne, ils osent affirmer que le vote des électeurs ne reflète pas leur véritable volonté et qu’il convient de donner une signification juridique au fait que le vote n’exprime pas le libre arbitre. Avec tout le respect que je dois à ces citoyens privilégiés, dans l’État d’Israël, la règle des élites selon Platon n’a pas été acceptée et le vote de chacun était égal au vote de tout autre citoyen, qui comprenait exactement pour qui et pour quoi il votait. »

La réponse de la faction du Likoud déclare que « la demande des pétitionnaires d’empêcher la Knesset d’exprimer sa confiance dans le gouvernement, dirigé par le membre de la Knesset sur lequel le travail du gouvernement a été effectué, en raison du fait que les députés sont en attente d’accusations d’infraction, doit s’appuyer sur une disposition constitutionnelle « .

Au sujet de l’accord de coalition, le Likoud a fait valoir : « Selon la décision, la portée de l’intervention du tribunal dans les accords de coalition est limitée à des circonstances spéciales qui n’existent pas dans l’affaire dont nous sommes saisis ».

Bien que tout au long de la campagne électorale, Kakhol Lavan ait fermement soutenu qu’une personne suspecte ne peut pas servir de Premier ministre, mais en réponse à la Haute Cour, les gens de ce groupe ont choisi de rappeler que, pour l’instant, rien n’est encore décidé au niveau juridique, donc la pétition en question n’est pas valable.

En bref, la cour suprême force Mendelblit à être le décisionnaire… On appelait cela ici voici encore quelques semaines un « plontèr », mot yiddish qui signifie être dans la poisse. Cela commence à devenir intéressant !

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