La nouvelle décision de Matan Kahana – et cette fois contre la nourriture casher en Israël !
Il semble que Matan Kahana ne se repose pas et publie constamment de nouveaux décrets contre le judaïsme.
Le vice-ministre des religions Matan Kahana poursuit son plan de destruction systématique du judaïsme, alors qu’aujourd’hui (jeudi) il a annoncé qu’il envisageait un changement dans la structure de la cacherouth en Israël : les maires vont pouvoir gérer la cacherouth dans leur ville : « Afin d’améliorer les services religieux en Israël, le vice-ministre des Affaires religieuses, le député Matan Kahana, travaille pour un changement structurel des services religieux en Israël ».
« À la lumière de l’appel de dizaines de chefs d’autorités au vice-ministre des Affaires religieuses, dans lequel ils ont cherché à fournir des services religieux aux résidents directement par l’intermédiaire du Département des services religieux par l’autorité locale, une décision qui répondra aux besoins de précision, utilisation du budget, efficacité, diversité et contrôle optimal des services. Cette semaine, le vice-ministre Kahana a convoqué une discussion sur la question », a annoncé le bureau du sous-ministre des Affaires religieuses.
Selon l’une des propositions évoquées dans la discussion, la direction de la collectivité aura droit de regard dans les services religieux comme dans d’autres services pour le résident tels que l’aide sociale, l’éducation, l’apparence de la ville, etc. A cet effet, les autorités recevront un partenaire budget du ministère des Affaires religieuses. De la sorte les maires laïcs pourront briser la cacherouth dans la ville, en particulier en faisant le choix d’organismes flous et irresponsables, tels que Tsohar.
« Les chefs des autorités et le personnel de l’autorité qui sont au contact quotidien des résidents, peuvent caractériser les besoins spécifiques de leur fief et fournir des services en conséquence, tout en faisant un meilleur usage des ressources publiques », a ajouté Matan Kahana, vice-ministre de Affaires religieuses. Le vice-ministre des Affaires religieuses, le député Matan Kahana (à droite) a conclu : « Nous avons discuté avec le centre du gouvernement local des moyens d’améliorer la prestation des services religieux ».
Selon Kahana, « parmi les options discutées figurait la possibilité de transférer les services religieux à des divisions à établir au sein des municipalités ». Kahana a signé ses propos sur le nouveau décret contre le judaïsme en disant que « ce qui précède sera fait tout en maintenant un budget ordonné et en définissant les obligations statutaires qui s’appliqueront aux autorités locales tout en préservant et même en améliorant le niveau des services religieux comme cela a déjà été fait en diverses villes. »