Le quotidien post-sioniste Haaretz n’aime pas quand des personnalités étrangères prennent la défense du sionisme. Le journaliste Assaf Ronel a écrit un article dans lequel il critique le président français Emmanuel Macron qui lors de la cérémonie en souvenir de la rafle du Vel’ d’Hiv’ a « osé » déclarer que l’antisionisme est une forme déguisée de l’antisémitisme actuel.
Dans son article, Assaf Ronel réfute cette comparaison et fait au contraire l’éloge de l’antisionisme, le qualifiant de « résistance », utilisant ainsi le langage des organisations terroristes. Il s’adresse directement au président français: « Monsieur Macron, vous faites erreur ! L’antisionisme est une forme de résistance au racisme qui caractérise le sionisme d’aujourd’hui. Ce n’est pas de l’antisémitisme ».
Emmanuel Navon, spécialiste des relations internationales, a écrit au journaliste, lui demandant quelle différence reste-t-il entre le fait d’accuser les Juifs de tous les maux du monde et les accuser d’avoir créé l’Etat juif ?
Le journaliste de Haaretz lui a répondu en enfonçant le clou et affirmant que « l’apartheid israélien n’a pas commencé avec la conquête des territoires en 1967 mais 19 ans avant, lors de la Guerre d’Indépendance et la création de l’Etat d’Israël en 1948 » !
Voilà le journal qui sert de source principale « d’informations » aux chancelleries étrangères ainsi qu’aux médias internationaux, avec les résultats que l’on sait.
Source www.lphinfo.com