Les questions économiques apparaissent peu dans le débat politique israélien.
Une enquête de l’Institut israélien pour la Démocratie révèle que les questions d’ordre économiques et sociales préoccupent plus les Israéliens que les questions sécuritaires.
Les questions économiques apparaissent peu dans le débat politique israélien, largement dominé par les questions sécuritaires et sociétales.
Malgré les inquiétudes de la population, l’économie israélienne a démarré en force au premier trimestre 2019 avec une poussée de son PIB de 5,2 % et un chômage à 3.6%.
Le Parti travailliste a dévoilé cette semaine son volet économique qui contient des mesures importantes comme l’augmentation de 30% du salaire minimum et une augmentation conséquente des pensions de retraite et des aides sociales.
Début janvier, la sécurité sociale israélienne avait publié son rapport annuel sur la pauvreté qui montre les contrastes économiques au sein de la société.
Inspirées du mouvement français, des centaines de personnes revêtues d’un gilet jaunes, avaient manifesté à Tel-Aviv contre l’augmentation annoncée des prix des produits laitiers, du pain et de l’électricité.
Même si la question sécuritaire n’apparaît pas en tête des préoccupations des Israéliens dans les enquêtes d’opinion, elle demeure un facteur déterminant pour les élections.
Les grands leaders s’efforcent d’adopter une posture de protecteur de « chef de guerre », bien plus que d’économiste.
Source www.i24news.tv
