Katz a demandé à l’armée israélienne de préparer un plan d’évacuation volontaire des habitants de Gaza
Le ministre de la Défense a salué le plan du président américain et a suggéré que les Gazaouis devraient être autorisés à jouir de la liberté de sortie et d’immigration comme c’est la coutume partout dans le monde. « Des pays comme l’Espagne, l’Irlande, la Norvège et d’autres, qui ont porté de fausses accusations et comploté contre Israël, sont obligés par la loi de permettre à chaque résident de Gaza d’entrer sur leur territoire – et leur hypocrisie sera dévoilée s’ils refusent. »
« Des pays comme l’Espagne, l’Irlande, la Norvège et d’autres, qui ont porté de fausses accusations et fomenté des complots contre Israël en raison de ses activités à Gaza, sont obligés par la loi de permettre à tous les résidents de Gaza d’entrer sur leur territoire – et leur hypocrisie sera dévoilée s’ils refusent de le faire. Il y a des pays comme le Canada, qui a un programme d’immigration réglementé, qui ont exprimé dans le passé le désir d’accueillir des résidents de Gaza. »
Le Wall Street Journal a révélé hier de nouveaux détails sur le plan du président américain et sur la manière dont il a pris forme. Selon le rapport, le plan présenté par Trump n’a été élaboré que récemment, gardé secret et présenté uniquement à un cercle restreint de conseillers et d’associés, ont déclaré au journal de hauts responsables de l’administration impliqués dans les plans concernant le Moyen-Orient. En dehors de son cercle proche de conseillers, l’administration n’était pas au courant du plan qui prenait forme dans les jours précédant la visite de Netanyahu.
Malgré cela, selon le rapport, des preuves de l’état d’esprit qui a conduit à l’élaboration du plan ont fait surface de temps à autre. Lors d’une conversation qu’ils ont eue à la fin de l’été, Trump a déclaré à Netanyahou que la bande de Gaza était un atout immobilier de premier ordre et lui a demandé de réfléchir aux types d’hôtels qui pourraient y être construits, selon une source au courant des détails de la conversation. Le journal ajoute que lors de cette conversation, Trump n’a pas évoqué la possibilité d’une prise de contrôle de la bande de Gaza par les États-Unis.
JForum.Fr & Israel Hayom