Après les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Arabie saoudite, c’est Israël qui a accusé l’Iran d’être derrière les récentes attaques contre les pétroliers dans le golfe d’Oman.
Le chef du gouvernement israélien, Benyamin Netanyahou, a à son tour imputé les attaques contre les pétroliers dans le golfe d’Oman à la République islamique d’Iran et appelé la communauté internationale à mettre fin à l’agression iranienne.
«En ce qui concerne l’agression de l’Iran dans le golfe d’Oman, tous les pays épris de paix doivent soutenir les efforts des États-Unis et du Président Trump visant à l’arrêter ainsi qu’à assurer la liberté de navigation dans les eaux internationales», a déclaré le Premier ministre lors de l’inauguration, sur les hauteurs du Golan, d’une nouvelle colonie israélienne nommée en l’honneur de l’actuel locataire de la Maison-Blanche.Le 13 juin, deux pétroliers ont été la cible d’attaques dans le golfe d’Oman, à proximité du détroit d’Ormuz, que Washington a imputées à l’Iran. Téhéran a démenti toute responsabilité dans ces événements qui ont exacerbé les tensions dans la région.
Le gouvernement britannique a pour sa part déclaré qu’il était «presque certain» que l’Iran était responsable des attaques. Ces mêmes accusations ont été reprises par le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane.De son côté, le Kremlin a mis en garde contre des «accusations gratuites» et invité la communauté internationale à «attendre que des données plus ou moins convaincantes apparaissent».
Source fr.sputniknews.com