La possibilité d’un cessez-le-feu limité dans le temps est envisagée en raison de l’estimation que le Conseil de sécurité de l’ONU pourrait prendre des décisions susceptibles de compliquer la situation pour Israël, y compris sur le front sud. La crainte est que l’administration Biden ne soutienne pas Israël et que les États-Unis ne mettent pas leur veto. Le gouvernement américain, jugé hostile, exerce de fortes pressions sur Israël pour qu’elle mette fin aux combats.
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Israël envisage un cessez-le-feu limité dans le temps dans le sud du Liban afin d’éviter une décision du Conseil de sécurité de l’ONU. Selon un rapport d’Amir Segal ce soir (samedi soir) sur les actualités de Channel 12, les détails de l’accord ne sont pas encore connus.
Les estimations en Israël indiquent que le Conseil de sécurité de l’ONU pourrait appeler à la fin des hostilités dans la bande de Gaza ou adopter des résolutions limitant Israël et risquant de la placer dans une situation difficile, y compris avec l’entrée en fonction de Donald Trump comme président des États-Unis.
Parallèlement, l’administration Biden, considérée comme hostile et cherchant à compromettre la victoire israélienne sur les fronts nord et sud, exerce de fortes pressions sur Israël pour qu’elle cesse de combattre le Hezbollah. En conséquence, Israël craint que les États-Unis ne se tiennent pas à ses côtés face au Conseil de sécurité et n’opposent pas leur veto.
Selon le rapport, même si un accord est conclu, Israël conserverait sa légitimité pour attaquer le Liban si l’organisation terroriste ouvrait le feu.
La semaine dernière, Channel 12 a rapporté un certain optimisme en Israël concernant la possibilité d’un arrangement avec le Hezbollah, mais aucun accord n’a encore été atteint.