L’un des points saillants de cette entente est la contribution prévue des forces qataries à l’organisation sécuritaire des Jeux Olympiques de Paris 2024, prévus du 26 juillet au 11 août prochain. En vertu de l’accord administratif signé par le ministre qatari de l’Intérieur, Cheikh Khalifa bin Hamad Al Thani, et son homologue français, Gérald Darmanin, le Qatar déploiera des effectifs dans diverses missions.
Ces tâches engloberont les patrouilles d’agents à pied, le renfort du centre national des opérations, les interventions à cheval et l’appui aérien par drones. Les experts qataris apporteront également leur expertise en déminage, cybersécurité, détection canine d’explosifs, lutte antiterroriste et maîtrise des foules. Leur rôle s’étendra aussi à la gestion de la sécurité civile lors d’événements sportifs d’envergure.
Mais les accords conclus ne se limitent pas aux JO 2024. Le Qatar et la France ont également adopté un plan d’action quinquennal (2024-2027) régissant leur collaboration sécuritaire bilatérale. De plus, la Force de sécurité intérieure qatarie (Lekhwiya) et la Gendarmerie nationale française ont signé une lettre d’intention visant à renforcer leurs liens opérationnels.
Lors de leurs entretiens, les ministres Cheikh Khalifa Al Thani et Gérald Darmanin ont souligné leur volonté commune d’approfondir ces partenariats cruciaux pour la stabilité régionale.
Si le Qatar était identifié comme un financier des Frères musulmans, du Hamas et d’Al-Jazeera, il serait alors capable de repérer facilement les dispositifs de sécurité et pourrait potentiellement transmettre ces informations à des tiers. Si l’on considérait que le Qatar pourrait être impliqué dans de nombreuses actions pouvant nuire à nos intérêts, telles que le wokisme, le terrorisme, le frérisme et la propagation de la désinformation via Al-Jazeera, on pourrait légitimement se demander pourquoi confier une partie de notre sécurité à ce pays…
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