Incroyable : le corps d’une juive tunisienne intact, 20 ans après son enterrement !

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Histoire remarquable. Il y a quelques années, Inon Boukhlis fait sa Alyah en famille depuis la Tunisie. Il prend récemment la décision d’exhumer et de ré-enterrer sa mère en Israël, elle qui avait été inhumée en Tunisie il y a 20 ans.

La ‘Hévra Kadicha (chargé de l’inhumation) est stupéfaite et formelle, ses équipes n’avaient jamais vu cela : le Takhri’hin (habit funéraire blanc dans lequel la dépouille est enveloppée après sa dernière toilette) et le corps de la femme sont restés complètement intacts, 20 ans après la mise en terre ! Il n’y avait aucune détérioration du corps.

Cette femme était connue pour être une Tsadékèt, une femme juste. Selon le rabbin de la famille, son investissement extrême dans la mitsva de réjouir les mariés serait l’explication de ce miracle.

A ce sujet, le Talmud (Guitin 57a) narre l’histoire du peuple valeureux de la ville de Bétar, dont les corps ne se détériorèrent pas non plus après leur trépas, et qui avaient également pour habitude de réjouir les mariés de façon très subtile et pleine de charme. Ils avaient pour coutume de planter un arbre à chaque naissance, un cèdre pour les garçons et un pin pour les filles. Lors d’un mariage, on abattait les deux arbres qui avaient été plantés en leur honneur afin de confectionner leur dais nuptial avec les branches.

Un jour, la fille de César, de passage, cassa un bras de sa litière. Les Romains abattirent un cèdre pour la réparer, provoquant une rébellion des Juifs qui infligèrent aux Romains une bastonnade. Cette escarmouche légère fut réprimée par une extermination du peuple de Bétar, le massacre complet s’achevant le 9 Av de l’année 135 de l’ère commune.

Dans leur cruauté absolue, les Romains interdirent l’enterrement des corps, afin de les laisser se putréfier sans sépulture. Le miracle intervint : les corps restèrent à l’air libre durant des mois sans subir aucune marque de décomposition, avant que les Romains n’autorisent leur inhumation (à Tou Béav), désemparés face à un tel phénomène.

Le Talmud (Ta’anit 31a) nous apprend que la bénédiction « Hatov Véhamétiv Lacol » a été ajoutée au Birkat Hamazone (les actions de grâce récitées après un repas contenant au moins 27 grammes de pain, cette quantité devant être consommée en 7 minutes et demi) pour commémorer ce miracle : Hachem, le Roi qui est bon et fait du bien à tous.

Source www.torah-box.com

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