La décision est tombée : dorénavant, quiconque emploie des Palestiniens qui n’ont pas le droit de travailler en Israël est passible de grandes amendes. C’est simple : 44 % des attentats dans le pays sont l’œuvre de Palestiniens en situation illégale – « Chaba’him », selon l’expression usitée ; à savoir, « chohim bilti ‘houqim », des personnes se rendant de manière illégale dans le pays.
A des employeurs privés, une telle faute coûtera au moins 5000 chékels, et à un organisme, ou une entreprise, 40 000. Les amendes peuvent même arriver jusqu’à 75.000 chékels pour des personnes privées, et à quatre fois plus pour des entreprises. De quoi décourager en effet ce genre d’erreurs…