Dès la conception et à la naissance, un bébé a, selon le cas, des chromosomes XY et c’est un garçon ou des chromosomes XX et c’est une fille.
Les milliards de cellules qui composent notre corps sont ainsi typées… et l’on n’y peut rien…
A la naissance, à de très rares exceptions près, le bébé nait fille ou garçon avec les attributs correspondant au genre.
A l’adolescence, les hormones produites par le corps – principalement la testostérone et la progestérone – favoriseront l’apparition des éléments physiologique du genre masculin ou féminin.
Il arrive qu’un dérèglement hormonal provoque des confusions dans les signes propres aux filles ou aux garçons. Mais le genre reste celui de la naissance et les chromosomes XY ou XX sont inaliénables.
Un traitement médical simple permet de « tout régler ».
Au plan psychologique, il en va tout autrement. L’environnement familial et scolaire joue un rôle important.
Un garçon peut ne pas s’aimer en garçon. Une fille peut avoir des envies d’être garçon.
Un garçon peut être attiré par un garçon et une fille par une fille. C’est l’amorce de l’homosexualité.
Les parents et les éducateurs doivent être particulièrement vigilants en étant les plus proches possibles des enfants.
Beaucoup plus préoccupant est le désir pour un garçon d’être fille et pour une fille de devenir garçon.
Tout commence par le vêtement.
Puis, avec la complicité innommable des pouvoir publics et du corps médical, le garçon ou la fille subiront des traitements irréversibles qui sont des atteintes à l’intégrité physique et qui devraient être très sévèrement sanctionnées.
Voilà notre garçon bourré de progestérone et avec, l’aide de la chirurgie, doté des attributs « apparents » de fille. On dira de la fille, qu’il est devenu, qu’elle est transgenre.
La fille, à qui on a donné en masse de la testostérone et mutilée au plus profond de son corps, est devenu garçon. Le garçon sera considéré comme transgenre.
Mais les chromosomes XY ou XX restent à vie et de façon indélébile gravés dans le corps.
La morale sociétale est muette.
Les rabbins s’exprimant sur le sujet sont poursuivis en justice.
Et même, si l’on peut dire, en laissant notre sainte Tora de côté, on assiste à une monstruosité que le monde de la communication relate avec d’autant plus de gourmandise que le voyeurisme et la sexualisation de notre monde se vendent bien.
Aujourd’hui, dans le sport, on demande aux athlètes de se présenter à des médecins pour s’assurer de leurs genres.
Cela ne rappelle-t-il pas l’époque du test de virginité ?
Une simple analyse de sang suffirait et épargnerait l’humiliation aux garçons-garçons et filles-filles.
Efraim F. Wasservogel