Le président Herzog a accordé une rare interview au New York Times, au cours de laquelle il a évoqué les contacts entre les parties à son domicile. « Il y a un sentiment de bonne volonté ici depuis que nous avons entamé les négociations il y a deux semaines. » Herzog a envoyé un message au Hamas, au Hezbollah et à l’Iran : « Ne vous y trompez pas. Nous avons toujours été unis en ce qui concerne notre sécurité ! »
Be’hadré ‘Harédim
Le président Yitzhak Herzog a accordé une interview exclusive au New York Times, au cours de laquelle il s’est dit « optimiste » quant aux pourparlers. Dans le même temps, le président a ajouté: « Je ne suis pas naïf, mais je leur donne une chance. »
Il a également déclaré: « Il y a un sentiment de bonne volonté perçu dans nos locaux depuis que nous avons entamé les négociations il y a deux semaines. » Selon le président, c’est un « moment d’importance constitutionnelle où nous pouvons orienter Israël vers un régime plus fort et plus durable – quelque chose que nous n’avons pas fait depuis la création de l’Etat il y a 75 ans ».
Herzog a commenté sa position concernant la législation de réforme : « Il est possible que je sois le seul facteur de la politique israélienne auquel les membres de tous les partis font confiance et vers qui ils peuvent se tourner pour obtenir des conseils. Je porte un fardeau sur mes épaules à une échelle historique. »
Dans le contexte des récentes roquettes tirées sur Israël, Herzog a transmis un message au Hezbollah, au Hamas et à l’Iran : « Ne vous y trompez pas. Nous avons toujours été unis en ce qui concerne notre sécurité. Israël est extrêmement fort et est capable d’agir si nécessaire. »