Selon un rapport de plus de 300 pages publié par les services de renseignement d’Allemagne, il y aurait actuellement 300 membres et partisans du Hamas et 950 affiliés au Hezbollah vivant dans le pays. Et selon un autre rapport, ces mêmes 1.250 personnes seraient feraient l’objet d’une surveillance constante.
Pour l’expert aux Etudes Politiques de l’université de Bar Ilan, le professeur Gérald Steinberg, les cellules du Hamas et du Hezbollah en Europe sont prêtes et attendent seulement le feu vert pour entrer en action. En attendant, a-t-il ajouté, elles collectent des fonds et s’occupent de recrutement…
Donc, ce n’est pas une surveillance qu’il faut faire de ces 1250 « bombes à retardement », mais une expulsion immédiate.
Et pour cela, modifier en amont la législation, pour développer un principe de précaution, visant une protection active la société civile.
Mais quel gouvernement s’engagerait ainsi ?