La France a « perdu» 300 djihadistes maghrébins de nationalité française en Irak et en Syrie

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Quelque 300 terroristes de nationalité française, dont 12 femmes, ont été tués depuis 2014 en Irak et en Syrie. Près de 1.700 Français sont partis à partir de 2014 vers l’Irak et la Syrie afin de rejoindre les rangs de Daech. 730 adultes et 500 adolescents opèrent toujours sur les zones de conflit irako-syriennes.  

Selon l’Agence de presse officielle syrienne SANA, 288 terroristes français ont été abattus en Syrie et en Irak, le plus célèbre étant Sabri Essid, demi-frère de Mohammed Merah, terroriste franco-algérien ayant perpétré les tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban. Formé en Afghanistan, Mohammed Merah a tué 7 personnes, dont 3 enfant.

Selon des sources actualisées du 6 mars, 256 terroristes français adultes auxquels s’ajoutent 78 adolescents ont regagné la France. Les djihadistes maghrébins profitent de leurs passeports français pour entrer dans le pays.

Le président syrien a reproché à maintes reprises aux pays européens de soutenir le terrorisme. Il a fustigé l’Union européenne qui, selon ses propres termes, a apporté ses soutiens au terrorisme en Syrie, provoquant un afflux migratoire vers l’Europe et la propagation de ce fléau funeste.

« Les mesures adoptées par plusieurs pays européens vis-à-vis de la Syrie et des pays du Moyen-Orient qui consistent à soutenir le terrorisme ont mené à la situation actuelle : la propagation du terrorisme », a-t-il expliqué.

Plusieurs attentats terroristes ont secoué la France elle-même. Des attaques terroristes horribles sont survenues entre 2015 et 2017 dans l’Hexagone tels les attentats du 7 janvier 2015 qui visaient la rédaction du journal Charlie Hebdo à Paris, les attentats du 13 novembre 2015 à Paris faisant 130 morts et plus de 350 blessés et l’attentat du 14 juillet 2016 à Nice, sur la promenade des Anglais, 86 morts.

L’immigration des pays musulmans, telle qu’elle a été gérée depuis des décennies, n’a rien fait pour arranger la situation en France.Dans ce pays, tout le monde est très inquiet quant à l’avenir face à la déferlante de musulmans radicalisés qui rentrent au pays. En Espagne aussi, des médias arabes rapportent que des djihadistes marocains s’apprêtent à provoquer l’armée espagnole. Ces gens arrivent de tous les bords de la Méditerranée.

120 000 ont réussi à traverser la Méditerranée vers l’Italie en 2017

Près de 3 000 migrants ont disparu en Méditerranée l’année dernière et environ 21 000 ont été secourus, alors que près de 120 000 ont réussi à traverser la Méditerranée vers l’Italie, a indiqué le directeur général de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), William Lacy Swing, dans une interview publiée le 2 mars 2018 à Londres.

M. Swing a souligné au quotidien londonien arabophone  Acharq Al-Awsat qu’en 2017, environ 119 310 migrants ont traversé la Méditerranée vers l’Italie, soit 34% de moins que l’année précédente, ajoutant que 2 832 personnes ont disparu dans la mer l’année dernière et que 20 385 personnes ont été sauvées.

Il a également relevé que 29 000 personnes déplacées étaient bloquées sur les côtes espagnoles et quelque 20 000 sur la côte grecque, durant la même période.

Le directeur général de l’Organisation internationale pour les migrations, William Lacy Swing

Le responsable de l’OIM a souligné que le nombre de ces migrants est lié à au moins neuf conflits armés en Asie occidentale, en Afrique du Nord et de l’Ouest, où «des millions de personnes ont besoin d’assistance», a-t-il dit.

Soulignant, par ailleurs, «que la migration ne devrait pas être un problème pour les gouvernements», le directeur général de l’OIM a plaidé pour un traitement humanitaire de cette question par la mise en place de mécanismes à même d’éviter la souffrance aux migrants.

Par contre il n’exprime aucune sympathie pour les victimes européennes du terrorisme islamiste.

Il a relevé à cette occasion que les migrants, qui représentent 3,5% de la population mondiale, contribueraient à 9% du PIB mondial, tout en remettant en cause les restrictions imposées par certains pays à l’entrée des personnes déplacées ayant fui des conflits et des dangers de mort.

Il a cité en exemple les Etats-Unis où «la lutte contre l’immigration a malheureusement pris de l’ampleur». M. Swing a déclaré à cet égard qu’«au lieu de construire des ponts, certains pays construisent des murs», estimant qu’un tel comportement mettait en danger la vie des migrants et ignorait leur apport et contribution au développement de ces pays.

Donc en gros, le directeur général de l’Organisation internationale pour les migrations veut culpabiliser les européens. Pourtant il est conscient de tous ces risques, il les connaît alors que l’immigration est devenue un réel danger pour les pays occidentaux dont la France en premier lieu.

Quand on dit qu’ils sont « réfugiés » fuyant les guerres de Syrie et d’Irak et que l’on nous montre des bateaux remplis surtout d’hommes musulmans et de très peu de femmes, nous savons qu’ils ne viennent pas pour fuir les guerres. Qu’est-ce qui empêche des terroristes de s’infiltrer dans le flot de ces « réfugiés » pour semer la terreur en Europe et passer à l’action d’un jour à l’autre avec la politique migratoire irresponsable de l’Union européenne de Merkel rejointe par le socialiste Emmanuel Macron ?

Quand on observe comment les services pénitenciers en France sont en état de dysfonctionnement face au surpeuplement des geôles occupées majoritairement par des musulmans qui se radicalisent, ne serait-il pas juste de décider que l’immigration massive doit cesser, et plus encore quand elle prend le visage islamiste ?

© Ftouh Souhail pour Dreuz.info.

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