L’administration Trump a donc décidé d’augmenter la pression sur les Nations Unies pour empêcher la publication de cette liste noire.
L’ambassadeur Hailey a également signalé que les États-Unis quitteraient le conseil des droits de l’homme si cette liste noire venait à être publiée.
La délégation israélienne à l’ONU, qui suit de près les tentatives répétées du Conseil des droits de l’homme (UNHRC) de publier cette liste, attend de voir comment les membres réagiront à la menace américaine.
Le porte-parole du Département d’Etat américain, Heather Nauert, a déclaré au début du mois : « Les Etats-Unis se sont catégoriquement opposés à cette liste dès le début. Ce genre de résolutions sont contre-productives et ne font rien pour faire avancer la question israélo-palestinienne ».
L’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Danny Danon, a fustigé l’éventuelle publication d’une liste noire, celle-ci étant « l’expression de l’antisémitisme moderne qui nous rappelle des périodes sombres de l’histoire.
« Au lieu de se concentrer sur les terribles problèmes humanitaires qui sévissent dans le monde, le Conseil des droits de l’homme cherche à nuire à Israël, et ce faisant, est devenu un membre actif du BDS.
J’appelle l’ONU et la Communauté Internationale dans son ensemble à mettre fin à cette politique dangereuse et d’écarter définitivement la publication d’une telle liste noire ».
Source Koide9enisrael