Un Etat islamique en Allemagne ? Warum nicht ! (Pourquoi pas !)

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Le Centre islamique d’Hambourg a organisé le dimanche 15 janvier une réunion sur la hausse inquiétante de l’islamophobie en Allemagne.

Certains participants laissèrent tomber leur masque de musulmans modérés et révélèrent leurs véritables visages et leurs plans machiavéliques pour leur pays d’accueil.

L’ayatollah Reza Ramezani, le leader du centre islamique demanda, le plus sérieusement du monde, que les partis politiques ne soient pas autorisés à interférer dans les affaires religieuses car selon lui, ils ne devraient pas avoir le droit d’exprimer leurs opinions en matière religieuse. Il souhaiterait, en outre, que les politiciens musellent toute critique de l’islam. Son souhait liberticide n’est-il pas déjà exaucé par Mutti Angela ?

L’érudit islamique sud-africain Farid Esack avait estimé quant à lui que l’idée d’un Etat islamique en Allemagne devrait être sérieusement prise en considération (il est vrai que pour les musulmans, toute la terre appartient à Allah, donc à ses fidèles.)

Ce défi agressif de l’Islam à la société démocratique fut relaté par la chaîne N24.

Ramezani critiqua également l’Occident pour avoir approuvé les caricatures, oh combien insultantes de Mahomet – vous savez, l’homme le meilleur au monde, l’exemple à suivre par toute l’humanité – et blâma l’Allemagne pour son islamophobie.

«Le saint prophète fut offensé et les partis politiques allemands eurent l’audace sacrilège de soutenir les caricatures danoises de Mahomet. Est-ce cela la liberté d’expression ?» s’interrogea avec amertume l’ayatollah ?

«Si l’islamophobie progresse en Occident, c’est à cause des fausses interprétations de l’islam par des non-experts. Plus de 80 pour cent des médias répandent de fausses informations.»

En d’autres termes, seuls les experts islamiques doivent être consultés à propos de l’islam. Ainsi, ils pourront séduire les infidèles par la ruse de la taqiyya. Personne ne devrait être autorisé à émettre la moindre critique sur la «religion» d’Allah, afin de permettre à l’islam de régner en maître absolu. Dès lors, la création d’un Etat islamique en Allemagne deviendrait tout à fait légitime.

Des musulmans d’Allemagne ne cachent plus leur impatience de voir la démocratie constitutionnelle se transformer en une dictature fasciste islamique.

Si nous ne voyons pas encore clairement le sort funeste que nous réserve l’avenir, si nous ne remettons pas l’islam à sa place, alors il n’y a plus d’espoir.

Ci-après, quelques déclarations éclairantes d’éminents érudits islamiques qui devraient faire prendre conscience du danger imminent qui menace l’Allemagne, nos pays, notre continent.

  • «La loi laïque reste valable aussi longtemps que nous, les musulmans, sommes minoritaires.» (Nadeem Elyas, fondateur et président du Conseil central des musulmans en Allemagne de 1995– 2006).
  • «L’engagement islamique à la charia est éternel et non négociable.» (Mustafa Ceric, ancien Grand Mufti de Bosnie-Herzégovine) Encore un pays musulman modéré officiellement candidat à l’entrée dans l’UE.
  • «Nous devons détruire tout ce qui entre en conflit avec le véritable islam… Nous devons éradiquer tous les Etats et toutes les organisations érigées par les hommes. Nous devons prôner la rébellion absolue à l’encontre de tout ce qui sur terre est en conflit avec l’islam. C’est un devoir. Nous devrions exterminer de toutes nos forces tout ce qui s’oppose à la révolution d’Allah.» (Sayyd Outh, l’un des grands penseurs des Frères musulmans, amis de Barack O. et des dirigeants de l’UE)
  • «Les fondements de la foi musulmane et la loi islamique (charia) montrent la supériorité quasi totale de la religion sur les personnes et la société.» (Ayyub Axel Köhler, Président du Conseil central des musulmans d’Allemagne de 2006-2010)
  • «Nous avons besoin de trois générations pour réaliser nos plans : une pour être à l’écoute, une pour combattre, et une pour vaincre. C’est dans la nature de l’islam de dominer et non d’être dominé, d’imposer ses lois à toutes les nations et d’étendre son pouvoir et sa force à toute la planète.» (Hassan al-Banna, fondateur très vénéré des Frères musulmans)
  • «Les chrétiens sont comme une maladie maligne et contagieuse. Les musulmans doivent les traiter de manière injuste, les mépriser, les boycotter, ne pas les toucher, afin de les forcer à accepter l’islam.» (Cheikh Abd al-Halim Mahmud, 1973 –. 1978 recteur de l’Université Al-Azhar au Caire, l’une des plus hautes autorités religieuses de l’islam). Al-Azhar, cette université islamique du Caire si respectée par l’Occident et le Vatican à laquelle Marine Le Pen a rendu visite.
  • «Oui, il y a la contrainte d’imposer l’islam comme un système politique, tout comme les armées d’Allah ont conquis les empires romain et perse. Ce commandement est naturellement offensif. Trêve de politesses. La conquête du Dar al-Harb, la Maison de la guerre, se fait par l’épée, non par l’idée ou la pensée.» (Cheikh Omar al-Bakri dans un sermon Sheikh Omar al-Bakri dans un sermon en septembre 2006 à Tripoli, au nord du Liban, en réponse à la question de Benoît XVI «Montrez-moi ?»

Pour rappel :

Il y eut plusieurs années de froid glacial entre al-Azhar et le Vatican, suite au discours du Pape Benoît XVI à l’Université de Ratisbonne sur le rapport entre la Foi et la Raison, intitulé «Foi, Raison et Université» au cours duquel il cita un passage du 16e siècle relatant l’entretien entre l’empereur orthodoxe Manuel II Paléologue et un musulman cultivé : «L’empereur connaissait les dispositions développées et fixées dans le coran à propos de la guerre sainte. Il dit avec rudesse à son interlocuteur musulman : montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme sa mission de diffuser par l’épée la foi qu’il prêchait»,

Les relations entre al-Azhar et le Vatican se réchauffèrent depuis l’élection du Pape François.

  • «Notre objectif est de nous enraciner sur le continent et d’y vivre tranquillement, conformément aux lois, et un jour peut-être, inch Allah, toute l’Europe sera enfin musulmane.» [Necmettin Erbakan, ministre-président turc, de 1996 à 1997 prédécesseur d’Erdogan]
  • «Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dans tous les Etats européens. Une fois devenu moralement et numériquement fort et puissant, il pourra renverser le pouvoir existant et mettre en place un pouvoir islamique[Alija Izetbegovic, 1990–1995 Président de la République de Bosnie et d’Herzégovine et candidat à l’adhésion à l’UE]
  • «Le coran nous enseigne que nous devons traiter en frères les vrais musulmans qui croient en Allah. Il nous demande de frapper les autres, de les jeter en prison, de les tuer.» [L’ayatollah Khomeiny, fondateur de la République islamique d’Iran et 1979-1989 chef religieux des chiites]
  • «Ce pays est notre pays. Il est de notre devoir de le changer de manière positive. Avec l’aide d’Allah, nous le transformerons en un paradis sur terre, afin de le mettre à la disposition de l’Oumma islamique et de l’Humanité. Le coran partage notre vision parfaite du monde. Nous croyons que c’est la parole d’Allah[Ali Kizilkaya, président du conseil islamique pour l’Allemagne] Qu’il cite un seul pays musulman, qui soit un paradis sur terre pour ses habitants ?
  • «Les Européens s’imaginent que les musulmans sont venus et viennent en Occident tout simplement pour gagner de l’argent. Mais Allah a un plan différent.» [Mehmet Sabri. Erbakan, 2001-2002 président et secrétaire général de la communauté turque Milli Görus]
  • «Les Européens sont malades… Nous leur donnerons les médicaments. L’Europe entière deviendra islamique. Nous conquerrons Rome.» (Necmettin Erbakan, ancien Premier ministre turc et fondateur du Milli Görüs (Vision nationale).

Près de 40 ans après ses débuts en Allemagne, le Milli Görüs, dont le logo est la carte de l’Europe happée par un croissant islamique est devenu une pieuvre tentaculaire ayant essaimé dans tous les pays d’Europe.

 

Comme toute organisation islamique, Milli Görus se sert de la démocratie allemande pour y instaurer un état religieux.

Nail Duran, l’ancien président de la Fédération de l’islam avait indiqué que «Vision nationale» (Milli Görus) n’était pas une institution religieuse mais politique :

«L’espace politique de vision nationale est la Turquie. Elle n’est pas une institution religieuse. L’islam dans sa définition réelle est une religion politique : il s’agit de l’ensemble des lois divines qui régissent les opinions et les actes des gens dans tous les domaines. Comme c’est la réalité, il n’est pas juste de dire que la religion est une chose et l’Etat une autre

Et le bouquet final :

«L’islam appartient à l’Allemagne» (Angela Merkel, chancelière, islamo-collabo). L’islam est devenu le 4 septembre 2015 le plus grand risque pour la sécurité du pays depuis la chute du Pacte de Varsovie, en ouvrant les portes de l’Allemagne à une invasion massive de mahométans.

 

 

Celui ou celle qui déroule le tapis rouge à l’islam et encourage son chemin vers le pouvoir sans aucun esprit critique devrait être, dans un Etat de droit, jugé pour haute trahison à l’égard du peuple allemand.

 

Hélas, ce n’est pas l’islamisation en cours de l’Allemagne et de l’Occident qui inquiète, consterne et effraye les évêques allemands Ralf Meister et Norbert Trelle non, mais l’élection de Donald Trump et son slogan «America first». Selon ces prélats, les politiciens doivent être les avocats du vivre ensemble. Ils ne doivent pas construire des murs, mais des ponts entre les peuples.

Tout comme notre bon pape François, la montée du populisme horrifie ces hommes d’Eglise. Le parti patriote Alternative für Deuschland qualifié de populiste, représenterait donc un danger majeur pour l’Allemagne, mais les discours islamistes suprématistes et haineux des musulmans allemands et leur objectif avoué de faire de l’Allemagne un califat islamique ne semblent guère susciter une frayeur quelconque dans leur esprit perverti par le dogme du multiculturalisme à prédominance musulmane, érigé en nouvelle religion censée apporter bonheur, justice et paix aux Occidentaux.

Ces inquiétudes rejoignent curieusement celles exprimées par le pape François, qui récemment déclara : «Du populisme au nazisme, il n’y a qu’un pas.»

Le pape François a appelé à la patience avant de juger Donald Trump sur ses actes. Il avait déjà réagi vendredi à l’investiture du nouveau président américain en espérant que ses décisions soient guidées par des «valeurs spirituelles et éthiques».

«Je crois que nous devons attendre et voir ce qu’il fera. Nous ne pouvons pas être des prophètes de malheur», a déclaré dimanche le pape dans une interview accordée au quotidien espagnol El Pais. «Nous verrons comment il agit, ce qu’il fait et j’aurai alors une opinion. Mais avoir peur ou se réjouir à l’avance de quelque chose qui pourrait advenir est, à mon sens, plutôt mal avisé», ajoute-t-il.

Le chef de l’Eglise catholique met également les Européens en garde contre le populisme, leur enjoignant de ne pas reproduire les erreurs des années 1930 en se tournant vers de prétendus «sauveurs».

«Les crises provoquent des craintes, des alertes. Pour moi, l’exemple le plus typique du populisme européen, c’est l’Allemagne en 1933. Un peuple submergé dans une crise qui a cherché son identité jusqu’à ce que ce dirigeant charismatique (Hitler) se présente et promette de lui rendre son identité, mais qui lui a rendu une identité pervertie et nous savons tous ce qui s’est passé», résume-t-il.

«Hitler n’a pas volé le pouvoir, son peuple a voté pour lui puis il a détruit son peuple. C’est le risque», a encore ajouté le pape. (Tribune de Genève)

Aujourd’hui, c’est l’islamo-nazisme qui constitue le plus grand danger pour le monde libre et non Donald Trump ni les partis patriotes qui s’opposent à l’asservissement de leurs peuples à l’idéologie la plus néfaste qu’ait connu l’humanité : l’islam. En martelant l’unique impératif de l’accueil de masses de migrants majoritairement musulmans, l’Eglise se fait complice de l’invasion, source de chaos.

Idéologie que vous, les chantres du multiculturalisme, soutenez de tout cœur au point de renier vos propres racines judéo-chrétiennes et mettre en péril la survie des peuples européens.

 

Finalement terminée la domination blanche en Allemagne

 © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : ˮ Islamicsher angriff auf Demokratie in Hamburg – PI Newsˮ Traduction et adaptation par Rosaly

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