Jonas Cardoso, candidat aux élections européennes sur la liste des écologistes, a dénoncé cette inscription, relayant sur X (anciennement Twitter) une photographie de la façade de l’établissement. « Oui à la mobilisation étudiante pour dénoncer l’inaction face au drame inhumain à Gaza, demander des sanctions… Mais au bout d’un moment il va falloir dégager les confus et les antisémites de nos luttes ».
Un slogan finalement effacé
Selon Le Télégramme, le graffiti « SSioniSSteSS et petainiSSteSS on vous crèvera » a été effacé. « On ne veut pas de haine dans nos slogans. Nous on est là pour promouvoir la paix. L’AG (Assemblée générale) a décidé à la majorité de l’enlever », a confié une manifestante au journal local. Selon la même personne, ce slogan haineux aurait été inscrit par une personne extérieure à l’école.
L’occupation du campus de Rennes s’est poursuivie en ce début de semaine. Les élèves mobilisés demandent « l’arrêt du partenariat entre l’Université de Rennes, dont fait partie Sciences Po, et Thales, qui est complice du génocide. Et une communication claire de la part des IEP et universités pour se positionner pour la paix et contre génocide », détaille une manifestante au Télégramme. En menant cette action, les étudiants veulent « lutter congre le génocide » en cours à Gaza.
Tous ces idiots utiles devraient se poser la question de leur partenariat avec le Hamas et les frères musulmans. Quant aux palestiniens de Gaza, ils doivent leur sort au Hamas, avant tout, qui les a plongés dans la misère et la violence, pour un résultat catastrophique, dont ils ne se remettront dans cinquante ans au mieux.
D’autres manifestations propalestiniennes ont eu lieu ces derniers jours en France, notamment à la Sorbonne, à Paris. Une mobilisation qui a réuni près de 300 personnes, rapporte RTL. Les revendications sont similaires dans tous les campus. En particulier, l’arrêt des partenariats entre la Sorbonne et les universités israéliennes. Lundi 29 avril en milieu d’après-midi, les forces de l’ordre sont intervenues pour déloger les contestataires. Une intervention policière a été demandée par Gabriel Attal, qui craint que la France reproduise le même scénario qu’aux États-Unis.
JFortum.Fr & AFP