L’épidémie de coronavirus de 2019-2020, également connue sous le nom de pneumonie de Wuhan, a commencé à la mi-décembre 2019 dans la ville de Wuhan en Chine centrale. Elle est causée par un nouveau type de coronavirus dénommé 2019-nCoV, qui s’est avéré être au moins 70 % similaire dans sa séquence génétique au SARS-CoV.
Les premières personnes atteintes souffrant de pneumonie aiguë travaillaient comme marchands d’animaux vivants au marché de gros fruits de mer de Wuhan. Des scientifiques chinois ont par la suite isolé un nouveau coronavirus, le 2019-nCoV.
Sur la base de ces développements et hypothèses telles que les statistiques des voyages internationaux, les scientifiques britanniques ont estimé le 17 janvier que le nombre réel d’infections pourrait être d’environ 1 700. Au 20 janvier, le nombre de cas confirmés en laboratoire était de 204, dont 201 en Chine, où le gouvernement a placé sous quarantaine trois villes de la province de Hubei particulièrement impactées par le virus et dont elles seraient le berceau, afin de contenir les risques de pandémie. Les autorités ont interdit tout trafic aérien, ferroviaire, routier et fluvial. Elles ont également ordonné la fermeture des lieux publics de divertissement.
Le 24 janvier, la ministre française de la santé, Agnès Buzyn, annonce les deux premiers cas français ; un à Bordeaux et l’autre à Paris. Ces trois cas font de la France le premier pays européen contaminé.
On parle d’une cinquantaine de morts, mais l’on commence déjà à évoquer un nombre de loin supérieur, et d’un nombre encore plus important d’individus atteints par ce virus – mais en Chine comme en Chine, on ne peut pas tout savoir. Ni non plus si les deux laboratoires de Wuhan destinés à la guerre biologique n’ont pas laissé échapper un nouveau virus artificiel, par accident.
L’un dans l’autre, il n’est pas inutile de rappeler ici la réaction du Machgia’h de la Yechivath Poniewezh, rabbi Ye’hezkel Léwinstein zatsal, qui a accompagné auparavant la Yechivath Mir en son exil à Shanghaï, quand on lui a dit, alors qu’il rendait visite à une famille endeuillée, qu’il était difficile de contrer la maladie qui avait frappé le défunt : « Vous faites erreur, cette maladie-ci n’est rien par rapport à celle qui venir au monde dans un proche avenir ! » On parlait du cancer, et lui prévoyait déjà le sida ? Cela n’a pas d’importance. Selon les mérites du monde, ou sa conduite désolante, il aura droit sans nul doute à une épidémie nouvelle, fulgurante et implacable, quand bien même on aura trouvé des remèdes pour les maladies précédentes. D’où le savait rav Léwinstein ? Parce qu’elles ont toute une seule et unique origine, et qu’En-Haut lieu, on n’a aucune difficulté pour trouver de nouveaux maux, avec ou sans mutation, ainsi que l’ont prouvé les plaies en Egypte, dont nous lisons actuellement la description.
La vraie solution ? Nous la connaissons tous, celle du retour au droit chemin, la « techouva », mais elle est tellement difficile à appliquer…