Depuis le début de la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement et Sanctions) en 2005, l’économie israélienne s’est améliorée de 100%, avec un PIB par habitant en hausse de 27%.
Les exportations ont augmenté de 43% et le tourisme de 70%. L’investissement étranger est en hausse de 277%. Le petit Israël est devenu une puissance économique.
Les objectifs déclarés de BDS sont de changer la politique israélienne en matière de frontières et de « colonies », de droits civils et politiques pour la minorité arabe israélienne (qui jouit déjà de pleins droits civils et politiques) et d’absorber des millions de descendants de « réfugiés » palestiniens qui cherchent à envahir en fin de compte détruire – l’État juif.
Le BDS devrait en fait être synonyme de bigoterie, de tromperie et de calomnie. Ses membres préconisent des efforts économiques et diplomatiques pour isoler et punir Israël. Ils promeuvent le boycott commercial, touristique, universitaire et culturel d’Israël. Ils encouragent les sociétés et les gestionnaires d’actifs à se départir de leurs sociétés israéliennes et de celles qui exercent des activités en Israël. Jugés à leurs propres objectifs et stratégies, les militants du BDS ont lamentablement échoué .