Le Maréchal Macron, avec la moitié des pleins-pouvoirs conférés par LFI, assure la promotion du prochain massacre en Israël

Alors que les médias se concentrent sur le langage direct de Yair Netanyahu, ils ignorent le véritable danger :

l’appel de Macron à établir un État terroriste qui menacerait l’existence d’Israël, à proximité des centres de population.

Le langage diplomatique fleuri de Yaïr Netanyahu

Le fils du Premier ministre Yair Netanyahu a tweeté sa condamnation du président français Emmanuel Macron, commençant son tweet par les mots amènes « Va te faire foutre ». Quel horrible incident diplomatique. Comment le fils du Premier ministre peut-il écrire ainsi au président d’un pays étranger ? Eh bien, quand on examine le tweet auquel le jeune Netanyahu a répondu, on lit que Macron – même si ce n’est pas consciemment – ​​avance l’investiture d’un Etat terroriste en octobre prochain. Sans équivoque. Macron appelle, après tout ce que nous avons traversé, après que nous ayons prouvé qui est l’ennemi auquel nous sommes confrontés, à récompenser le terrorisme et à établir un État palestinien au cœur d’Israël – à seulement huit kilomètres du Goush Dan.

Le tweet de Yair Netanyahu à Emmanuel Macron (Photo : capture d’écran de X Network)

Installer le Hamas en banlieue de Tel Aviv, le grand rêve de paix de l’inconscient Macron

Le massacre qui s’étendra au bloc de Dan (la banlieue de Tel Aviv) depuis la Judée et la Samarie sera bien plus étendu que le massacre dans la région environnante de Gaza, ne serait-ce qu’en raison de la densité de population. Après le 7 octobre, il nous faut examiner la réalité avec des yeux sobres. Vous ne pouvez pas céder aux slogans confortables de l’amour et de la paix – quand de l’autre côté de la barrière se trouve quelqu’un qui veut conclure un accord avec vous, juste pour qu’il lui soit plus facile de vous poignarder dans le dos plus tard.

Accord de Hudaybiyah

Le grand meurtrier Yasser Arafat, qui dirigeait l’Autorité palestinienne avant Abou Mazen, a dit ces choses clairement. L’accord avec Israël a été conçu pour être violé. Il a mentionné la permission dans l’Islam de mentir aux infidèles afin de les vaincre à un autre moment. C’est ce que Mahomet lui-même a fait dans l’accord de Hudaybiyah – et Arafat a comparé plus d’une fois l’accord d’Oslo à l’accord de Hudaybiyah. L’Autorité palestinienne incite régulièrement à la haine contre les Juifs et contre Israël. Elle finance les terroristes dans les prisons depuis de nombreuses années. La différence entre l’Autorité palestinienne et le Hamas est une chose : l’Autorité palestinienne est prête à s’engager dans un processus politique afin d’obtenir quelque chose avec l’aide duquel elle attaquera Israël lorsqu’il sera plus fort.

C’est ce que Mahomet a fait dans le traité de Houdayba, c’est ce qu’Arafat a fait dans les accords d’Oslo – et c’est ce qui sera fait dans toute tentative de parvenir à la paix avec ceux qui croient que nous, les Juifs, sommes des fils de singes et de porcs et que le plus grand commandement est de décapiter les hommes et de violer les femmes. C’est l’ennemi auquel nous sommes confrontés.

L’ignorant Macron prêt à faire liquider des terroristes par d’autres terroristes, comme en 2007

L’Autorité palestinienne, au cours de ses quelque 30 années d’existence, n’a pas agi pour modérer l’attitude de la population palestinienne envers l’État d’Israël et a même créé et incité au terrorisme. Bien entendu, les ambitions de l’AP, tout comme celles du Hamas, incluent tous les territoires d’Israël. Pas les lignes de 67 ni même celles de 48. tout. Confier à cet organisme la responsabilité d’un pays est un acte de folie. En chemin, n’oubliez pas qui est la population. Lorsque l’État d’Israël s’est retiré de Gaza en 2005, il a cédé le territoire à l’Autorité palestinienne. Tout comme le Hamas a expulsé les membres du Fatah en les jetant des toits de 15 étages en 2007, il expulsera les membres de l’Autorité palestinienne des toits de Judée-Samarie – le jour où l’État d’Israël quittera la scène.

Mais le choix entre le Hamastan et le Fatahstan est un choix horrible. Tout comme le Hamas, l’Autorité palestinienne est responsable de la mort d’innombrables Juifs tués au nom de l’appel au djihad. Les djihadistes des Brigades des martyrs d’Al-Aqsa de l’Autorité palestinienne ont activement participé au massacre du 7 octobre, y compris à l’enlèvement et aux abus de nos frères et sœurs – et en ont officiellement tiré une grande fierté. Le Hamas a retenu l’attention du monde et la nôtre parce qu’il a mené cette horrible agression, mais d’autres terroristes y ont participé à ses côtés, notamment au sein de l’Autorité palestinienne.

Glorification du Judéocide

Même si l’on met de côté la participation des terroristes de l’Autorité palestinienne aux événements djihadistes d’octobre, et même si l’on met de côté le nombre de policiers palestiniens qui ont perpétré des attaques meurtrières, il est impossible d’ignorer les déclarations de hauts responsables de l’Autorité palestinienne qui ont loué et glorifié le massacre d’octobre.

Le patron de la FIFA Palestinienne voulait assassiner Arik Sharon

Prenons par exemple Jibril Rajoub, une personne très sympathique que j’ai rencontrée il y a plusieurs années. Le bien-aimé Rajoub a été déporté au Liban après avoir participé à la première Intifada. Cet homme sympathique a recruté un agent dont le but était d’assassiner Arik Sharon, et après les accords d’Oslo, il a été nommé chef de la Sécurité préventive – l’équivalent palestinien du Shin Bet. Aujourd’hui, cet homme sympathique est tout simplement le président de la Fédération palestinienne de football. Oh, il est également le secrétaire du Comité central du Fatah. Rajoub est une personne tellement sympathique qu’il pourrait remplacer Abou Mazen après sa mort. Rajoub estime que le massacre du 7 octobre fait partie d’une « guerre défensive pleine d’histoires héroïques » qui fait partie de la guerre que « le peuple palestinien mène depuis 75 ans ». Rajoub a même eu la politesse de nous avertir que « la prochaine explosion, plus puissante et encore plus violente, se produira en Judée-Samarie ». Rajoub ne fait pas partie du Hamas, ou en bref, selon la position de Macron, allez lui chercher un État. Rajoub est bien sûr un nom de code.

Imad Rawidi, l’ambassadeur de l’Autorité palestinienne en Irak, a déclaré le 7 octobre, en référence au massacre, qu’aucun  citoyen israélien n’est innocent, car la plupart sont des soldats qui permettent le siège de Gaza. Abbas Zaki, membre du Comité central du Fatah, a déclaré : « Nous remercions les Brigades Izz ad-Din al-Qassam d’avoir mené à bien ces préparatifs. Lorsqu’elles ont pris cette décision, elles savaient comment mener à bien le travail. »

Tous les membres dirigeants du Fatah acclament le massacre perpétré le 7 octobre

Iyad Jarad, du Fatah, a déclaré que le massacre du 7 octobre est « une source de fierté, d’héroïsme et d’honneur pour le peuple palestinien ».

Jamal al-Khuwayl, membre du Conseil révolutionnaire du Fatah, a déclaré à propos du massacre : « Si D’ le veut, nous verrons des images similaires en Judée-Samarie. » Nous pouvons continuer encore et encore.

Les déclarations écœurantes des hauts responsables de l’Autorité palestinienne et du Fatah concernant le 7 octobre ne cessent de se multiplier. Lorsque Macron entend établir un État palestinien « sans le Hamas », il entend donner cet État à cette bande de fous meurtriers.

Quiconque ne comprend pas le danger d’un État palestinien armé au centre du pays n’a rien appris du 7 octobre.

À Gaza, il s’agissait encore d’une zone relativement petite – 365 kilomètres carrés. La Judée et la Samarie constituent une zone beaucoup plus vaste : 5 860 kilomètres carrés. Quiconque pense que la bonne chose à faire est d’établir un État palestinien sur ce morceau de territoire vit dans l’illusion qu’il ne deviendra pas un État terroriste – ou s’en fiche tout simplement, car il sera dans le premier avion à destination de l’étranger dès que nous commencerons à nous entretuer ici dans les rues.

On peut donc ne pas aimer le style adopté par Yair Netanyahu. Peut-être était-il possible d’adopter une approche plus diplomatique ou autre. Mais en fin de compte, lorsque le président d’un puissant pays européen annonce qu’il a décidé de promouvoir l’établissement d’un État terroriste qui conduira au meurtre de milliers d’Israéliens au cœur de l’État d’Israël, le message, aussi diplomatique soit-il, ne peut être assez fort sans la signature de ces mots : Allez vous faire foutre !

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