Pourquoi y a-t-il une forêt au milieu du Mont du Temple ? Pourquoi les renards marchent-ils près du mur ? Et où est la tour de Kamtsa et Bar Kamtsa ? Le rav Israël Guélis, dixième génération à Jérusalem, raconte des phénomènes « étranges »…
Aroutz 2000
Rabbi Israël Guélis – journaliste et écrivain, dixième génération à Jérusalem : « Nous sommes au pied du Mur Occidental. Les jours de Bein haMetsarim, les jours entre le dix-sept Tamouz et Tisha BeAv, la destruction du Temple et la destruction de Jérusalem ont eu lieu. Le 10 BeAv le Temple était déjà complètement incendié. Si on regarde bien, derrière les arbres sur le Mont du Temple, il y a une tour très haute appelée « Tour Malka ».
La Guemara parle de Kamtsa et de Bar Kamtsa, à cause desquels Jérusalem a été détruite, dont l’histoire s’est déroulée exactement dans « Tour Malka ». Plus bas, vers le Mont du Temple, vous pouvez voir une mosquée à gauche et une à droite.
Au milieu, vous pouvez voir qu’il y a des arbres, en un lieu où les musulmans ont essayé à plusieurs reprises de construire toutes sortes de temples, mais ces tentatives ont toujours échoué. Il y a un midrach sur le livre des Lamentation, dans lequel il est écrit qu’à l’endroit où se trouve le Saint des Saints, rien ne peut jamais être construit. Ils ont essayé d’y construire toutes sortes de bâtiments mais ils tombaient toujours.
Un peu plus bas se trouve notre Mur Occidental. Environ sept rangées plus haut, les pierres ont des cadres – tous datent en fait de l’époque d’Hérode. Au-dessus de la septième rangée se trouvent déjà d’autres périodes : Mamelouks, Croisés et plus, jusqu’à la rangée supérieure blanche – qui a été construite par Moché Montefiore. Lorsque Montefiore est arrivé en Terre d’Israël, il a immédiatement voulu acheter le Mur Occidental aux Arabes. Le Mur est appelé par les Arabes « Al-Burak ». Il y avait un signe sur le mur, avec l’inscription « Al-Burak », jusqu’à ce qu’ils arrivent après la guerre des Six jours et retirent cette inscription.
Il y a des phénomènes particulièrement intéressants au Mur Occidental. Et en général, en parlant de rédemption, à Jérusalem on remarque constamment des phénomènes qu’on n’a pas vus depuis des années. Une des choses intéressantes se passe le matin, lors de la prière « Vatikin » au Kotel, c’est le seul moment où il y a du silence sur la place, tout le monde prie. Il reste environ 5 à 6 minutes avant la répétition prononcée par le ministre-officiant. À ce moment-là, des colombes blanches arrivent et volent au-dessus des gens. C’est un phénomène qui ne s’était pas produit auparavant et qui ne se répète que depuis un an et demi. Quand arrive le moment où le ministre-officiant doit reprendre la prière, les colombes blanches volent au-dessus du peuple au mur des Lamentations. Ceux qui comptent patiemment constateront qu’il y a environ 26 colombes blanches au total, comme le nombre de lettres du Notre Père (nom de D’). Après le début de la répétition de la Chemoné Essré, ces colombes disparaissent et s’envolent. Chaque matin, vous pouvez entrer sur la place du Mur des Lamentations et assister à ce phénomène.
Une autre chose, pendant la période Corona, des renards sont venus dans la zone du Mur des Lamentations, dans les fouilles du côté sud. Ils arrivaient à l’aube jusqu’au lever du soleil. Dès que le soleil apparaissait, ils disparaissaient immédiatement. Le phénomène peut être vu dans une variété de documents. Mais après le corona, les renards ont complètement disparu et personne ne sait où. A la conclusion du traité talmudique Maccoth, il est relaté que des Sages qui ont vu les renards sortir du Mont du Temple et pleurer, alors que rabbi Akiva riait. Ils lui ont demandé pourquoi il riait, et rabbi Akiva a répondu : « Ceci est le signe annonciateur de la rédemption : des renards sortiront du mont du Temple dans un premier temps et ensuite, des jeunes hommes et des vieillards seront dans les rues de Jérusalem ».
Puissions-nous être bénis avec la venue de notre juste Messie et la rédemption complète bientôt de nos jours, Amen.
