Graffiti relevé en Vieille Ville de Jérusalem : « L’attentat d’hier, le début de ceux de 2017 » – que l’Eternel nous en protège ! (Relevez le fait que l’auteur du graffiti écrit « bigoua », à la place de « pigoua », défaut connu des Arabes qui ne parviennent pas à dire « p »)
De manière exceptionnelle, les autorités israéliennes semblent avoir pris certaines mesures intéressantes, à la suite des divers événements récents. Quelque chose serait-il en train de changer dans le pays ?
Les services de sécurité ont effectué déjà des mesures avant destruction de la maison du terroriste qui a lancé le camion-bélier contre le groupe de soldats à Armon hanatsiv. Fadi Al-Qanbar habitait à Jabel Mukaber, un quartier situé à proximité de Armon hanatsiv, et est un quartier connu pour sa virulence contre Israël et les terroristes qui y vivent.
De plus, la police a arrêté l’un des frères du criminel qui a affirmé après l’attentat devant les médias qu’il s’agissait certainement d’un accident – ce qui est évidemment impossible, puisque le terroriste est revenu de lui-même, avec son camion, sur le groupe pour parfaire son acte, avant d’être descendu.
En fait, toute sa famille fait actuellement l’objet d’une enquête, car la police soupçonne que le projet de Fadi était connu de tout son entourage, qui ne l’a pas empêché d’agir.
Le Ministre de l’Intérieur, rav Dérhy, envisage également d’annuler la nationalité israélienne de ces gens, ce qui les empêcherait de percevoir les diverses aides que l’Etat accorde à ses habitants…
En parallèle, mais dans un autre domaine, la polie a détruit neuf maisons construites sans autorisation à Qalansawe (Kalansvoi en hébreu). Ces mesures sont minimes par rapport à l’ensemble des constructions illicites qui sont effectuées partout dans les territoires de Judée et de Samarie, mais elles ont reçu un très grand écho, entrainant une menace de grève générale du côté arabe.
Cette mesure vient finalement rétablir l’équilibre à la suite de ce qui a été décidé à Amona : si la construction de diverses maisons dans cette agglomération ont été considérées comme étant illégales pour avoir été érigées sur des terrains appartenant en fait à des Palestiniens, à ce qu’en tout cas ces derniers ont allégué devant la Cour suprême, avec l’aide de divers groupes politiques extrémistes juifs ou étrangers, alors des constructions arabes effectuées contre les lois municipales doivent subir le même sort…
« Œil contre œil », non ?
En tout cas, il est possible de constater là une nouvelle compréhension de ce qu’il faut faire face à la société arabe, qui pourrait avoir des conséquences bénéfiques.