Des cadres supérieurs du secteur bancaire critiquent leurs collègues qui ont mis en garde contre la réforme juridique.

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« Des déclarations politiques qui n’ont aucune justification professionnelle, mais représentent des ‘prophéties' », ont-ils dit

Be’hadré ‘Harédim – Illustration : shutterstock

Dans le contexte de la tempête autour de la réforme juridique, les cadres supérieurs du secteur bancaire en Israël appellent leurs collègues à cesser de s’insérer dans la politique et à agir pour calmer le marché financier en Israël. Les hauts fonctionnaires indiquent clairement que les déclarations de certains PDG de banques et des économistes, selon laquelle la réforme juridique nuira à l’économie, « ce sont des déclarations politiques qui n’ont aucune justification professionnelle, mais deviennent des prophéties qui se réalisent, ou pas ».

L’un des hauts fonctionnaires de l’industrie a déclaré: « Il n’y a eu aucun événement réel de transfert de fonds vers l’étranger. Il n’y avait pas de loi liée à la réforme. Les gens sans méfiance disent : ‘Nous avons entendu dire des PDG dire qu’il y avait un problème. Nous voulons donc ouvrir un compte à l’étranger’. »

L’un des intervenants, un ancien dans la branche qui joue un rôle majeur dans l’une des grandes banques, a ajouté: « Dans le système, on ressend une atmosphère terroriste ». Le senior a noté le PDG de la Banque Discount Uri Levin, qui a participé à une manifestation contre la réforme, en tant que personne qui a commencé la vague dans le système bancaire: « Il y a des lignes de mélange entre la politique et les entreprises, d’une manière inacceptable. »

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