« Dès le départ, j’ai dit qu’il était interdit de négocier avec le diable.
Et voilà que nous avons signé un mauvais accord, et le diable se joue de nous, annonçant qu’il refuse de libérer les otages lors de la prochaine phase prévue ce samedi.
Le Hamas ne se contente pas de menacer.
Le Hamas manipule cruellement les familles des otages, exploitant leur cœur brisé, manipule la société israélienne et la déchire de l’intérieur.
Monsieur le Premier ministre,
Je vous appelle, en écho aux paroles si morales, simples et claires du président Trump, à transmettre un message sans équivoque au Hamas : soit tous les otages sont libérés d’ici samedi – fin des phases, fin des jeux – soit nous ouvrons sur eux les portes de l’enfer.
Cela signifie :
Pas d’électricité
Pas d’eau
Pas de carburant
Pas d’aide humanitaire
Il n’y aura que le feu et le soufre de nos avions, de notre artillerie, de nos chars et de nos courageux combattants.
Cela signifie l’occupation totale de la bande de Gaza, l’expulsion de tous les Gazaouis de la région conformément au plan du président Trump, la prise de territoire et l’application de notre souveraineté, car c’est le prix douloureux que notre ennemi comprend.
Monsieur le Premier ministre,
C’est la seule manière de préserver la vie de nos otages et de les ramener à la maison aussi rapidement que possible.
Nous avons tout le soutien international nécessaire pour cela.
Donnez l’ordre. »
On attend la réponse…
