À Degel HaTora, la décision a été prise par les Grands d’Israël de participer aux discussions de la commission des affaires étrangères et de la défense concernant le projet de loi en vue de ses deuxième et troisième lectures, et un député a été élu pour représenter le parti dans le Comité. Yair Lapid affirme : « Aucun compromis ne sera fait dans cette loi »
Be’hadré ‘Harédim – Ari Kalman
Aujourd’hui mardi, pour la première fois, la commission des affaires étrangères et de la défense de la Knesset, dirigée par le député Ben Barak de Yesh Atid, se réunira pour la première discussion sur le projet de loi, et les factions orthodoxes sont en ébulition.
La faction Degel HaTora s’est réunie lundi pour une réunion de faction distincte, où la question a été discutée, après que le député Moshe Gafni est venu après consultation des Grands de la Tora sur la façon d’agir.
Leur décision a été que les représentants de Degel HaTorah participeraient aux discussions importantes au sein du comité et travailleraient à changer les détails de la loi autant que possible en faveur du monde de la Yechiva pour réduire les dégâts au minimum.
Il a également été décidé que la personne qui s’occupera de la question au nom de Degel HaTorah sera le député Uri Maklev, qui a tenu plusieurs réunions sur le sujet ces derniers jours, telles que des pourparlers de coordination avec le représentant d’Agoudat Israël Meir Porush. Du coté de Shass, la personnalité qui est mêlée est Ariel Atias, ancien ministre. Le représentant de la faction pour participer aux discussions du comité qui formulera la loi pour un vote final semble devoir être le député Moshe Arbel.
Degel HaTora devrait exiger une nouvelle fois du Likoud, dans l’ombre des discussions sur la loi sur le recrutement, de nommer des représentants de tous les membres de l’opposition dans les différentes commissions : « Nous sommes les seuls à être présents dans les commissions, et nous constatons à quel point notre absence a des résultats négatifs ».
Pendant ce temps, en réponse à la question de Be’hadré ‘Harédim, le vice-Premier ministre, le ministre Yair Lapid, a déclaré que pour sa part « aucun compromis ne sera accepté dans cette loi, ni aucun aménagement », même en échange d’un soutien de la part des orthodoxes, dit-il, « cette loi est juste et bonne ». Bien entendu.
