par Nonie Darwish – Gatestone
Ce que ne comprend pas l’Occident, c’est que l’islam admet que le contrôle du gouvernement a une place centrale en islam et que les musulmans doivent, tôt ou tard, exiger de vivre sous un gouvernement islamique.
La plupart des gens dans le monde ne comprennent pas qu’une grande partie des médias américains a lancé une guerre de propagande contre l’Administration Trump, tout simplement parce qu’il désigne le djihad islamique et préférerait que ce soit une Amérique forte et prospère qui soit le chef de file mondial plutôt que de voir une dictature, laïque ou théocratique, jouer ce rôle.
L’islam affirme être une religion abrahamique mais, en réalité, l’islam est apparu six cents ans après le Christ, non pas pour soutenir la Bible mais pour la discréditer, non pas pour coexister avec les « peuples du livre », les Juifs et les chrétiens, mais pour les remplacer, après les avoir accusés de falsifier délibérément la Bible.
L’islam a été créé en tant que rébellion contre la Bible et ses valeurs et il compte sur des mesures gouvernementales pour ce faire.
L’islam politique et légal (la charia) est bien plus qu’une religion. Le premier amendement est-il un pacte suicidaire ?
Le représentant démocrate (Minnesota) Keith Ellison a déclaré que l’interdiction de quatre-vingt dix jours pour une immigration venant de sept pays à majorité musulmane, par le Président Donald Trump, est « une interdiction fondée sur la religion » et que « s’ils peuvent interdire les musulmans, pourquoi ne pourraient-ils pas interdire les mormons. » Ce qui est devenu la position du parti Démocrate et des principaux médias et a non seulement influencé le public américain mais a aussi convaincu la plus grande du monde que l’Amérique est « mauvaise ». Comment pouvons-nous blâmer le monde et même une grande partie des citoyens américains de haïr l’Amérique quand de telles accusations fallacieuses et mensongères sont diffusées dans le monde par des responsables américains et passent sur des chaînes de télévision américaines ?
La plupart des gens dans le monde ne comprennent pas qu’une grande partie des médias américains a lancé une guerre de propagande contre l’Administration Trump, tout simplement parce qu’il désigne le djihad islamique et préférerait que ce soit une Amérique forte et prospère qui soit le chef de file mondial plutôt que de voir une dictature, laïque ou théocratique, jouer ce rôle. Il a été candidat républicain ; les Démocrates et les médias principaux refusent de participer à un débat respectueux et légitime sur la menace la plus cruciale du vingt et unième siècle contre la civilisation occidentale : l’islam. La vérité est devenue sans importance, les gens semblent préférer une lutte politique acharnée pour retourner l’opinion publique contre l’Administration Trump et, sans doute, élire les Démocrates pour toujours. C’est ainsi que le système est configuré.
Les débats politiques à la télévision sont devenus extrêmement frustrants, ils sont devenus des foires d’empoigne où volent des insultes et ils n’ont rien d’instructif. Les animateurs de télévision deviennent souvent des instigateurs et des participants de ces foires d’empoigne. Il semble que leur raisonnement est que plus on crie, plus le programme sera attractif. Pendant ce temps-là, tout le monde parle en même temps, le téléspectateur ne peut entendre personne et le programme est des plus ennuyeux.
En vertu de la constitution des États-Unis, la liberté de culte est protégée et l’islam a été accueilli en Occident comme étant l’une des trois religions abrahamiques. Selon les valeurs occidentales et la manière dont l’Occident comprend ce mot, la « religion » est censée être une relation personnelle avec D’ dans laquelle le libre arbitre est de la plus grande importance. Le croyant n’a d’autorité que sur lui-même en ce qui concerne les lois religieuses ou les péchés passibles de châtiments, comme le fait de quitter la religion ou d’être coupable d’adultère, ce qui est tout à fait différent des lois pénales dont le but est de protéger la société. Les valeurs occidentales laissent aussi les croyants d’une religion donnée libres de faire du prosélytisme, mais sans jamais avoir recours à des mesures gouvernementales.
Pour conclure, la définition occidentale de la religion est en harmonie avec les valeurs bibliques des droits humains à la vie, la liberté et la recherche du bonheur et selon lesquelles tous les êtres humains sont créés comme étant égaux d’après la loi. Une valeur occidentale fondamentale est de considérer que D’, la famille et le pays sont des priorités.
Comparons maintenant ces valeurs aux valeurs islamiques :
- Les citoyens musulmans ont le droit de punir d’autres citoyens en utilisant des peines humiliantes, rigoureuses, cruelles et inusitées telles que la mort, la flagellation et l’amputation pour avoir péché contre Allah, le Coran ou l’islam. Parmi ces « crimes », quitter l’islam, être homosexuel ou être coupable d’adultère. Et si le gouvernement islamique n’applique pas de tels châtiments, tout musulman dans la rue a le droit d’appliquer ces peines et ne sera pas poursuivi. C’est pour cette raison que les apostats, tels que moi, ne peuvent se rendre dans aucun pays musulman : ce n’est pas seulement de gouvernements islamiques que l’on doit avoir peur mais de n’importe qui dans la rue.
- Être musulman, cela ne signifie pas avoir une relation personnelle avec D’, comme c’est le cas avec la Bible, mais c’est appliqué par l’État à la naissance. Quand un enfant naît en Égypte, avec un père musulman, un cachet portant la mention « musulman » est apposé sur le certificat de naissance ainsi que sur tous les documents fournis par le gouvernement. Un enfant doit apprendre les sciences islamiques à l’école et pratiquer l’islam toute sa vie. En Égypte, les jumeaux d’une mère divorcée chrétienne ont été contraints de faire des études islamiques simplement parce que leur père chrétien s’était converti à l’islam. Aujourd’hui, je suis toujours considérée comme musulmane en Égypte et ce statut ne pourrait jamais changer si jamais je retournais y vivre un jour.
- La loi et les dirigeants islamiques comptent sur les mesures gouvernementales, avec la menace de la peine de mort, pour que les musulmans ne quittent pas l’islam et pour convertir la minorité chrétienne à l’islam. La loi islamique de la charia oblige les États islamiques à appliquer les lois religieuses et si le chef d’État musulman refuse de suivre les lois religieuses, la charia permet au public d’utiliser la force et de chasser le chef d’État du pouvoir.
- L’islam affirme être une religion abrahamique mais, en réalité, l’islam est apparu six cents ans après le Christ, non pas pour soutenir la Bible mais pour la discréditer, non pas pour coexister avec les « peuples du livre », les juifs et les chrétiens, mais pour les remplacer, après les avoir accusés de falsifier la Bible délibérément. L’islam a été créé en tant que rébellion contre la Bible et ses valeurs et il compte sur une mise en œuvre gouvernementale pour ce faire.
Les principes ci-dessus ne sont que certaines des différences dans les valeurs entre l’islam, la Bible et le concept occidental de la religion. Ce que ne comprend pas l’Occident est que l’islam admet que le contrôle du gouvernement a une place centrale en islam et que les musulmans doivent, tôt ou tard, exiger de vivre sous un gouvernement islamique. Ce qui pourrait expliquer la violence perpétuelle dans presque tous les pays musulmans, avec les gouvernements aux mains d’une théocratie religieuse ou des militaires. L’islam, tel qu’il est pratiqué aujourd’hui, a violé toutes les définitions occidentales de la religion et des valeurs.
L’islam politique et légal (la charia) est bien plus qu’une religion. Le premier amendement est-il un pacte suicidaire ?
Nonie Darwish, née en Égypte où elle a grandi, est l’auteur de « Entièrement différent ; pourquoi j’ai choisi les valeurs de la Bible plutôt que celles de l’islam ».