Continuez à prier : l’exécution du jeune juif en Iran a été reportée

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Les autorités iraniennes ont reporté la peine du jeune Juif de 20 ans qui devait être exécuté demain après avoir tué un musulman qui l’avait agressé, d’après l’organisation Tzedek, qui travaille pour les Juifs du monde entier.

Be’hadré Harédim – Yankee Farber

L’organisation « Tzedek », dirigée par le rav Moché Morgarten des États-Unis, a annoncé que la peine de mort prononcée contre le jeune Juif en Iran a été reportée d’un mois. L’organisation, ainsi que d’autres hommes d’affaires aux États-Unis, font pression sur les dirigeants et les hommes politiques du monde entier pour tenter d’empêcher que la sentence soit prononcée définitivement.

Le rav Moshe Morgarten, président de l’organisation, a rencontré vendredi dernier la sénatrice Kirsten Gillibrand de New York, au domicile du milliardaire et philanthrope juif Alex Robat, où ils ont discuté du cas du jeune Juif iranien de 20 ans qui était condamné à mort.

Erwin Nathaniel Kahrmani, 20 ans, de la ville de Kermansha, s’entraînait dans un gymnase de la ville de Kermansha en Iran, à environ 800 kilomètres de Téhéran, en novembre 2022. Sont arrivés sept hommes, dont Amir Shukri, 40 ans, qui lui devaient de l’argent. Selon des membres de sa famille, Amir Shukri a sorti un couteau et a poignardé Kahrmani. Le jeune juif s’est battu et a retiré le couteau des mains de Shukri, puis l’a poignardé mortellement. Kahrmani a été reconnu coupable de « complicité dans le meurtre intentionnel d’un musulman » et condamné à mort.

Le Dr Humion Shim, représentant juif au Parlement iranien, a demandé à un certain nombre de législateurs musulmans d’intervenir en médiation avec la famille de Shukri et a même proposé de construire une mosquée en son nom en échange de l’annulation du procès, mais ses efforts ont échoué.

Sa famille tente de payer une rançon à la famille de la victime, annulant ainsi le procès comme c’est la coutume en Iran, mais la famille refuse actuellement d’accepter le paiement. Sonia Sadeti, la mère du jeune homme, a fait appel à une organisation iranienne de défense des droits humains et a demandé de l’aide pour libérer son fils.

S’il vous plaît, ouvrez les portes du paradis pour la libération rapide d’Ervin Nathaniel ben Ziona.

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