Ce groupe comprend la Société pétrolière et gazière indienne, la Bharat Petroleum Corporation, la Indian Oil Corporation et la Oil India Limited.
Le ministère a lancé en novembre un appel aux investisseurs étrangers afin qu’ils viennent explorer les eaux israéliennes, en divisant la région en blocs dans le but de délivrer des licences d’exploration offshore aux éventuels candidats.
Le groupe indien a donc reçu un permis pour explorer le Bloc 32 pour une période de trois ans, avec la possibilité d’extension du permis pour une période de trois années supplémentaires.
Le consortium a été invité à présenter des avoirs financiers d’au moins 400 millions de dollars d’actifs et d’au moins 100 millions de dollars de capitaux propres.
Le groupe devait également prouver ses capacités professionnelles dans l’exploration et la production pétrolières et gazières extracôtières afin de s’assurer qu’il respectera les conditions de la licence.
Selon le ministère de l’énergie et de l’industrie, ce consortium indien était prêt à investir 5 milliards de dollars dans le développement du champ gazier Farzad B, dans le golfe Persique, mais les négociations son entrées dans une impasse après que l’Iran ait accusé l’Inde d’« inflexibilité » et l’Inde a accusé de son côté l’Iran de « déplacer les poteaux de but » et de retarder la signature de l’accord.
Le Ministre de l’Energie israélien, Yuval Steinitz, a salué ce développement, en disant que son ministère envisage d’intensifier les efforts pour attirer les investisseurs internationaux pour explorer les eaux d’Israël.
Source Koide9enisrael