Chaos au sein de la commission constitutionnelle : des membres de l’opposition montent sur des tables

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Avant le vote de la loi fondamentale sur le pouvoir judiciaire au sein de la Commission constitutionnelle, les députés de l’opposition ont commencé à devenir fous et ont provoqué un tollé jamais vu à la Knesset. Les députés ont commencé à chanter, à crier humiliation et honte, et ont même grimpé sur les tables et se sont assis par terre comme les derniers des manifestants de rue.

Radio Kol ‘Hai – Nati Kalish – Photo : Noam Moshkowitz/porte-parole de la Knesset

Une agitation s’est développée au sein de la Commission Constitution au début du débat sur la Loi fondamentale du pouvoir judiciaire. Le président de la commission, le député Simcha Rotman, a annoncé qu’il y aurait une lecture du projet de loi, suivie d’un vote pour la première lecture, et immédiatement les membres de la Knesset de l’opposition ont commencé à se déchaîner d’une manière désordonnée qui n’avait jamais été déjà vu à la Knesset.

D’abord, ils ont commencé à chanter des chansons et à taper sur les tables, tout en criant « honte » et « honte ». Après cela, ils ont commencé à grimper sur les tables en direction du président du comité, et lorsque les huissiers de la Knesset sont venus les faire sortir, ils se sont assis par terre comme les derniers manifestants de rue.

Après que l’ombudsman du comité, l’avocat Dr Gore Blay, ait fini de lire les sections du projet de loi, le président du comité, le député Simcha Rotman, a annoncé un départ pour la consultation des factions, après quoi la loi a été approuvée par le comité pour la première lecture.

Avant le début du débat, le président de la commission de la Constitution de la Knesset, le député Simcha Rotman, a fait une déclaration aux médias, dans laquelle il a annoncé sa volonté de parler avec le pouvoir judiciaire et les membres de l’opposition sur la question des réformes juridiques, en conformément à la proposition du président. Cependant, Rotman a précisé, à l’instar de la position du ministre de la Justice, qu’il n’accepterait pas d’arrêter la législation comme condition des négociations.

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