Ce qui nous attend : inciter un jeune à se repentir va être une infraction pénale

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Amener un mineur à se repentir – une infraction pénale passible d’une peine d’emprisonnement

La peur du monde orthodoxe face au gouvernement Bennett-Lapid prend des dimensions réelles et tangibles : une loi venant interdire le repentir des mineurs a été déjà déposée à la Knesset • La députée Tamar Zandberg du Meretz cherche à définir une telle activité comme une infraction pénale passible d’une peine d’emprisonnement | Tous les détails

Be’hadré ‘Harédim

Le membre attendu de la coalition de Naftali Bennett, et qui devrait être ministre de la protection de l’environnement au sein du gouvernement, la députée Tamar Zandberg, fait la promotion d’un projet de loi qui ferait du repentir d’un mineur repenti une infraction pénale passible de six mois car venant inciter des laïcs de devenir religieux.

Il s’agit d’une loi délirante qui empêchera l’activité toranique face pour des dizaines d’organisations de retour de jeunes arrivés à l’âge de la Bar Mitsva à la pratique, comme cela existe aujourd’hui dans des dizaines d’institutions qui parviennent à rapprocher des dizaines de garçons avant l’âge de 18 ans au respect des mitsvoth.

Selon le projet de loi initié par Zandberg, qui est peu susceptible d’être promu, mais montre sans aucun doute la tendance dans laquelle la prochaine coalition sous le Premier ministre Naftali Bennett, portant la kippa, sera considérée comme une infraction pénale en vertu du Code pénal et l’emprisonnement réel sera imposé au « contrevenant ».

Zandberg propose dans le projet de loi que solliciter un mineur à se repentir ou à accomplir un autre acte, directement ou indirectement, qui devrait entraîner le repentir d’un mineur, sans la présence et l’approbation de ses parents, est passible de six mois d’emprisonnement.

Dans l’exposé des motifs du projet de loi, Zandberg écrit : « Compte tenu du grand nombre de cas dans lesquels divers organismes religieux en Israël persuadent des mineurs de se repentir, notamment par le biais d’activités et de distribution de matériel comportant des menaces dans les écoles, il est proposé d’interdire actions directes ou indirectes de ceux qui agissent au nom de ces organes.

« Dans la pratique, la sollicitation au repentir est similaire à la sollicitation à la conversion, qui est interdite », a déclaré Zandberg. « La proposition fait référence à la sollicitation d’un mineur, dont les opinions et les croyances sont moins cohérentes que celles d’un adulte, de changer de foi et de se tourner vers d’une personne laïque à une religieuse. Sans aucune pression ou tentation extérieure. « 

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