« Les écarts ne sont pas faciles à combler »
JDN – Benjamin Berger
Le président de Yemina insiste à plusieurs reprises sur le fait que les négociations qu’il mène avec la gauche ne sont qu’une tentative qui n’est pas sûre d’aboutir. « Je souligne que c’est une expérience. L’ambiance est bonne, mais les écarts ne sont pas faciles à combler. Je pense qu’il est inutile de dire que je suis prêt à aller loin et à payer un prix politique personnel sur ma base électoral afin d’arriver à former un gouvernement. «
Le président de Yemina, Naftali Bennett, a évoqué les négociations de coalition avec les chefs de parti du Gush Shinui avant Chabbath et a refroidi un peu l’atmosphère. « Des journées complexes pour moi », a commenté Bennett.
« Ce n’est pas agréable d’être au centre d’une attaque organisée », a-t-il déclaré, faisant référence aux attaques du bloc de droite pour avoir violé ses promesses à ses électeurs. « J’ai affronté une situation difficile, très difficile. Après quatre élections sans résultat, il faut former un gouvernement qui remettra le pays sur les rails et travaillera pour les citoyens.
« Je veux souligner deux choses », a ajouté le président de Yemina. « Premièrement, ce n’était pas mon premier choix. Je suis allé de toutes mes forces avec Netanyahou à partir du moment où il a reçu le mandat … Netanyahou a échoué. Il n’a pas réussi à persuader Smotrich d’entrer, et le reste est connu. Nous sommes confrontés à deux options, une cinquième élection ou une tentative sincère de former un large gouvernement.
« Deuxièmement, je souligne que c’est une tentative. L’atmosphère est bonne, mais les écarts ne sont pas faciles à combler. Je pense qu’il est inutile de dire que je suis prêt à aller loin et à payer un prix politique personnel sur ma base électorale jusqu’à ce qu’un gouvernement soit formé. Son principe d’organisation sera simple – la bonne volonté et non la compréhension. Toutes les questions qui sont en litige entre la droite et la gauche depuis plus de soixante-dix ans doivent être résolues maintenant. Vous pouvez accepter ou non, – mais il y a des principes fondamentaux que je ne veux pas abandonner et des lignes rouges que je ne franchirai pas. «
Bennett a ajouté: « Ce ne sont pas des jours faciles. Je sais d’où je viens et où je vais, et je suis déterminé à tirer le meilleur parti de cette expérience, mais ce n’est pas facile quand les gens avec qui vous avez parcouru un long chemin, qui les a soulevées politiquement, utilisez des mots durs contre vous que je ne veux même pas revenir.
« J’appelle mes amis de droite: vous pouvez ne pas être d’accord, mais ce genre de discours incendiaire, c’est justement pour cela que le public ne nous donne pas la majorité, à chaque fois. » Il a dit: « Le public est fatigué de ce style, de l’attaque personnelle, de marquer les traîtres, de s’accrocher au pouvoir à tout prix. »
« Yom Yerouchlaïm est à nos portes, et je veux nous amener tous, même ceux qui ne sont pas nés à l’époque, au moment de la libération du Mur occidental. Au corps et au tremblement qui nous a tous saisis, dans le petit pays qui ont survécu à un miracle. Droite, gauche, centre, séfarades, ashkénazes, laïques, religieux. Nous sommes à un point où nous devons choisir – continuer à nous battre jusqu’à ce que l’état s’effondre ou commence à réparer. »
Bennett a signé le message: « Je ne sais pas si je réussirai, mais je peux vous assurer que je vais, de toutes mes forces, essayer de corriger. »
Quelle, honte, quelle ignominie, quelle forfaiture. Ce petit Benêt discoure en disant : « J’appelle mes amis de droite : vous pouvez ne pas être d’accord, mais ce genre de discours incendiaire, c’est justement pour cela que le public ne nous donne pas la majorité, à chaque fois. » Il a dit: « Le public est fatigué de ce style, de l’attaque personnelle, de marquer les traîtres, de s’accrocher au pouvoir à tout prix. »
« Yom Yerouchlaïm est à nos portes, et je veux nous amener tous, même ceux qui ne sont pas nés à l’époque, au moment de la libération du Mur occidental. Au corps et au tremblement qui nous a tous saisis, dans le petit pays qui ont survécu à un miracle. Droite, gauche, centre, séfarades, ashkénazes, laïques, religieux. Nous sommes à un point où nous devons choisir – continuer à nous battre jusqu’à ce que l’Etat s’effondre ou commence à réparer. »
« J’appelle mes amis de droite: en a-t-il ? qu’il n’a pas trahi.
Puis ajoute :
« Yom Yerouchlaïm est à nos portes,
Comme au sénat Romain, «déclaration de CICERON : Catalina est aux portes et Rome et l’on délibère – Citation : «Eh ! messieurs, à propos d’une ridicule motion du Palais-Royal, d’une risible incursion qui n’eut jamais d’importance que dans les imaginations faibles ou les desseins pervers de quelques hommes de mauvaise foi, vous avez entendu naguère ces mots forcenés : Catilina est aux portes de Rome, et l’on délibère !
C’est ainsi qu’il compare « Yom Jérusalem » comme un envahisseur.
Les politiciens israéliens ne savent pas où donner de la tête car le peuple juif s’entête dans son vote !
En Israel, personne ne veut changer pour l’intéret d’Israel : les politiciens comme les électeurs.
La start-up nation est tellement riche qu’elle peut se permettre des élection tous les 6 mois.